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TRANSFERT DE DIAPOSITIVES SUR CD ou DVD


Nous avons 3 qualités de numérisations pour les Diapositives

1/ Qualité écran de télévision 720 x 576 juste pour voir à l'écran
2/ Numérisation en 2400 DPI (DPI = Point par Inch, 1 Inch = 2,54 cm), ici vous pouvez recadrer, imprimer et zoomer sur l'image
3/ Numérisation en 3600 DPI (DPI = Point par Inch, 1 Inch = 2,54 cm), ici vous pouvez recadrer, imprimer et zoomer sur l'image encore plus qu'en 2400 DPI

A partir de 500 Diapositives le CD est gratuit

Nous réalisons le transfert de vos diapositives sur des médias CD-R. Ceux-ci peuvent être lus sur certains lecteurs DVD de salon capables de lire des fichiers au format JPEG.

Si vous souhaitez un diaporama lisible sur la plupart des lecteurs DVD de salon, il faudra réaliser un DVD-Vidéo avec diaporama. Vous pouvez sont le réaliser vous-même à partir des fichiers fournis sur CD-Rom, soit nous demander de créer le diaporama directement.

Le format de scan ou numérisation est JPEG, vous avez le choix entre deux résolutions d'image, généralement celle à 2400 DPI soit 3190 x 2136 points pour environ 3,8Mo suffit largement, mais si vous désirez retravailler l'image, la recadrer, il est préférable d’opter pour 3600 DPI soit 4758 x 3198 points ou encore environs 6,5Mo.

Ou si vous rechercher le prix , faite juste un DVD Video avec la résolution télévision SD , c'est pas la haute résolution mais pour scanner c'est plus rapide et donc vous coûte moin chére.


Ici vous pouvez télécharger les images en 2400 et 3600 DPI afin que vous puissiez vous faire une idée de la résolution

Voici comment ranger dans le bon sens vos diapositives :

Un film inversible (appelé aussi très couramment « diapositive », « diapo », « ekta », ou même « scala » si c'est un procédé noir et blanc) est un type de film photographique qui enregistre la lumière dans son émulsion directement en positif, c'est-à-dire sans inversion des valeurs (contrairement à un film négatif).

L'image résultante peut être ainsi observée directement, soit sur une table lumineuse, soit par projection. Il existe des procédés couleur et noir et blanc.

Caractéristiques

La base du film étant transparente et sans masque coloré, l'image résultante peut être observée directement soit sur une table lumineuse, soit par projection. C'est ce côté direct qui plaît à de nombreux photographes - en effet, l'image n'a pas besoin d'être réinterprétée en laboratoire pour retrouver les couleurs d'origine (comme avec les films négatifs couleur).

Un film inversible couleur peut être aussi tiré sur papier, que ce soit via l'utilisation d'un internégatif ou de procédés tels que l'Ilfochrome (en couleur) ou la numérisation suivie du tirage du fichier.

On peut monter chaque image individuelle dans un cadre (en plastique ou en carton) de 5 x 5 cm facilitant la projection - on parle alors de diapositive. Ce format est aussi très adapté aux photojournalistes et aux agences, qui en ont fait un outil de base :

  • On peut inscrire facilement dans le cadre des données concernant la prise de vue (date, lieu et/ou sujet).
  • On peut classer individuellement les meilleures images par thème ou sujet.
  • Chaque image est prête à l'utilisation et ne nécessite pas de traitement de laboratoire supplémentaire.

Avec l'arrivée du numérique (pour numériser et gérer les archives dans un premier temps, pour directement prendre les photos dans un deuxième) les films inversibles couleur ont perdu de leur attrait professionnel.

Contrairement aux films négatifs, le contraste de ces films est en général élevé - il faut donc exposer au plus juste, en sachant qu'il n'y aura pas (ou peu) d'espace d'interprétation au tirage.

Inversibles couleur : types et procédés

Les films de type Ektachrome (utilisant le traitement E-6 défini par Kodak) sont aujourd'hui très majoritaires. Ce procédé est considéré comme universel et utilisable avec toutes les marques de pellicule.

Cependant, les films de type Kodachrome sont encore en vente (bien que difficilement trouvables et plus chers) et utilisent un procédé différent.

Kodachrome

Kodak Kodachrome

Le Kodachrome est un film inversible couleur qui fut produit par Kodak jusqu'en juin 2009. Inventé par Leopold Godowsky, Jr. et Leopold Mannes, il a été introduit en 1935 en format 16 mm pour le cinéma. L'année suivante, Kodak le rendra disponible au format 8 mm et 35 mm, toujours pour le cinéma. L'utilisation des appareils photo de petit format commençant à se développer à la même époque, le format 35 mm trouve alors une utilisation en photographie. Kodak annonça la fin de la fabrication de la pellicule Kodachrome le 22 juin 2009, après 74 ans de fabrication et après qu'elle eut conquit le titre de pellicule couleur la plus vendue au monde.

Principe

Ce film a évidemment évolué depuis, mais garde quelques caractéristiques fondamentales - citons l'obtention des couleurs au moyen d'une synthèse soustractive (c'est d'ailleurs le plus ancien film encore en vente utilisant cette méthode). De façon simplifiée, on peut dire que la Kodachrome consiste en trois films noir et blanc superposés (un pour chaque couleur fondamentale) - ceci se retrouve dans le grain particulier de ce film (visible surtout avec la Kodachrome 200), plus consistant et sec que ce qu'on voit avec les films inversibles classiques (de type Ektachrome) ou avec les films négatifs couleur.

Développement

Le procédé de développement a évolué et est aujourd'hui appelé K-14. Complexe, il n'est pas accessible à un amateur : par exemple, il faut répéter trois fois (une fois pour chaque couleur fondamentale) un traitement délicat dans lequel les couleurs finales de l'image sont apportées chimiquement (chaque couche argentique à l'origine monochrome prenant alors sa couleur adaptée)

Un seul laboratoire dans le monde se charge encore de ce traitement, celui-ci est donc toujours effectué par correspondance. Les films Kodachrome vendus en Europe sont d'ailleurs livrés avec une enveloppe permettant un développement sans frais supplémentaires, ce qui relativise le prix élevé lors de l'achat.

Rendu

Le rendu du Kodachrome se caractérise par un contraste important, tempéré par des couleurs fidèles et modérément saturées, à l'inverse des films inversibles E6 modernes aux couleurs beaucoup plus vives. Ce rendu plaisant et très typique, associé à une excellente netteté, a fait les beaux jours de la presse illustrée et de bien des cinéastes au cours du XXe siècle.

Durabilité

Utilisé pour l'archivage, en particulier dans de nombreux musées, le film Kodachrome présente une durabilité des teintes exceptionnelle, bien supérieure à toutes les émulsions couleurs plus récentes.

Traitement et avenir

Après l'arrêt en 2002 de la fabrication de la Kodachrome 25 (film photo), en 2005 de la Kodachrome 40 (film cinéma Super 8 et 16 mm), en novembre 2006 de la Kodachrome 200, la production de la dernière Kodachrome 64 au format 35 mm ne se fait plus qu'une fois par an. La firme de Rochester a annoncé le 22 juin 2009 l'arrêt de la commercialisation définitive de la Kodachrome 64. Le traitement des pellicules devrait être assuré jusqu'à la fin de l'année 2010, date de péremption portée par les dernières pellicules commercialisées.

Le dernier laboratoire européen (à Renens en Suisse) a fermé le 30 septembre 2006, celui de Tokyo en décembre 2007. Il ne reste qu'un laboratoire au monde, traitant tous les types de films Kodachrome, Dwayne's Photo Service, situé aux États-Unis.

Le laboratoire Kodak de Lausanne, bien qu'il ne développe plus les films sur place, reçoit ceux-ci et assure toujours le traitement en les envoyant aux États-Unis pour y être développés. Les films photographique Kodachrome « développement compris » sont donc toujours à expédier pour l'Europe à l'adresse de l'ancien laboratoire de Lausanne :

Kodak SA
Laboratoire KODACHROME
Case Postale
Ch-1001 Lausanne
Suisse,
CH

Digitalisation (Numérisation, scannérisation)

Une diapositive Kodachrome montée s’insère comme toute autre diapo dans un scanner de diapo. À l’issue d’une numérisation classique, le résultat sera inutilisable dans presque tous les cas ; une forte dominante bleue est souvent visible. Certains constructeurs offrent dans leur logiciel de numérisation des profils couleurs Kodachrome spécifiques dans l’objectif de remédier à ce problème. Toutefois, un calibrage IT8 s’avère nécessaire pour des scans en couleurs fidèles à l'original. Particulièrement à grains fins, les diapos Kodachrome présentent une résolution très élevée et une très grande plage de densité. Un scanner à haute résolution (2 400 dpi minimum) présentant une grande plage de densité est donc nécessaire si l’on ne souhaite aucune perte à l’issue de la numérisation. Les techniques de différents scanners qui détectent et corrigent les imperfections telles que les poussières, les rayures, les traces de doigt etc. au moyen d'un canal infrarouge additionnel, ne peuvent être employées ou seulement dans certaines conditions sur les Kodachrome en raison de la présence d’halogénure d’argent..

Ektachrome

Ektachrome est une marque de Kodak correspondant à une gamme de films photographiques inversibles disponibles en plusieurs formats et notamment en 35 mm.

Le nom Ektachrome est une marque déposée par Kodak et désigne les films inversibles professionnels de la marque. Mais par extension, c'est souvent par ce nom (ou par Ekta) que l'on désigne les films utilisant un traitement E6 (pour Ektachrome n°6) quelle que soit la marque.

Principe

Ektachrome, initialement développé au début des années 1940, permettait aux professionnels et aux amateurs de traiter leurs propres films. Il rendait aussi l'introduction de films couleurs inversibles en grand format plus simple. La production du Kodachrome en plan film (feuilles) sera abandonnée.

De la même façon, il était possible à de petits laboratoires professionnels de s'équiper pour le développement de l'Ektachrome, chose impossible avec le Kodachrome. Au fil du temps le procédé a évolué (désigné de E-1 à E-5) et actuellement le traitement utilisé est le E-6. Celui-ci peut être mise en œuvre par de petits laboratoires ou par l'amateur avec une simple cuve de développement.

Bien que le Kodachrome fut longtemps considéré comme un film de qualité supérieure, l'amélioration apportée dans la fabrication des films a quelque peu estompé les différences entre les deux procédés. En outre, le développement du Kodachrome nécessite de faire appel à un laboratoire de la marque, ce qui allonge le délai de traitement (de l'ordre de 7 jours). En comparaison, les petits laboratoires peuvent traiter dans leurs locaux l'Ektachrome et ce depuis les années 1950. Un laboratoire amateur peut très bien faire un traitement complet d'Ektachrome en une seule journée.

Historique des traitements

  • E-1 : Procédé initial pour le traitement des films en feuille (1942- années 1950)
  • E-2 : Procédé initial pour le traitement des films en bobine (1942-1966)
  • E-3 : Mise à niveau pour un traitement professionnel des films en feuille et des bobines Kodak EP professionnelles (années 1950 - 1976)
  • E-4 : Mise à niveau pour le traitement des films en bobine (1966-1996)
  • E-5 : Procédé réservé au traitement des films utilisés en photo aérienne AR6
  • E-6 : Procédé actuel pour le traitement de la plupart des films couleurs inversibles.

D'autres firmes utilisent leurs propres désignations pour des procédés identiques. C'est le cas notamment du procédé CR-55 de Fujifilm (équivalent au E-4) ou du procédé CRK-2 Konica (E-6).

Le procédé E-4 a été abandonné en 1976, toutefois on a continué de l'utiliser jusque dans les années 1980 pour le traitement des films microphotographiques Kodak PCF, et même jusqu'en 1996 pour le film couleur infra-rouge Kodak IE. Et ce pour la simple raison que Kodak était lié légalement à un devoir de traitement pendant trente ans.

Le procédé Ektachrome diffère assez nettement du procédé Agfa Ap-41 utilisé jusqu'en 1983 pour le traitement de films comme les Agfachrome CT18 et 50s Professionnel.

Histoire

Historiquement, par rapport à la Kodachrome, c'est l'introduction en 1936 par Agfa de coupleurs au sein de l'émulsion de son Agfacolor Neue (contrairement à l' Agfacolor de 1932, similaire à l'Autochrome) qui a abouti la simplification du traitement.

Développement

Article détaillé : Traitement E-6.

Le développement du film diapositive est proche de celui du noir et blanc (le premier révélateur est un révélateur noir et blanc) et surtout du négatif couleur mais ce qui fait la différence c'est que le film est « voilé » (chimiquement ou par exposition à la lumière) pour obtenir une image positive.

Le premier révélateur fait apparaître l'image latente argentique négative de chacune des 3 (ou 4 dans certaines émulsions) couches de couleur. C'est un simple révélateur pour négatif noir et blanc. C'est à cette étape qu'il est possible de rattraper une certaine sous-exposition lors de la prise de vue.

Le bain d'inversion permet d'exposer (voile du film) les parties non développées du premier bain et donc de créer dans chaque couche une image positive.

La couleur apparaît alors après le passage dans un développeur chromogène. La qualité de la chimie, sa température, son agitation ainsi que son âge influent sur la neutralité des couleurs. Un très grand soin doit être apporté pour éviter les dominantes.

Le blanchiment va détruire les composés argentiques pour ne conserver que les couches positives couleur qui forment la diapositive. Après lavage et séchage, le film est prêt pour son exploitation (projection, numérisation).

Inversibles noir et blanc : caractéristiques et utilisations

Surtout utilisé par des photographes professionnels (pour les mêmes raisons que les inversibles couleur), ce type de film est de moins en moins courant, aussi bien à cause de l'utilisation maintenant courante du numérique que du prix élevé des émulsions spécialisées et des difficultés (relatives) pour le photographe amateur à traiter soi-même ce film.

Pour obtenir un inversible noir et blanc, il y a deux méthodes :

  1. Utiliser un film dédié. Le plus important (Agfa Scala 200X) est traité en France par un seul laboratoire à Paris (Arka-Dupon, qui le fait aussi par correspondance) et est très apprécié pour son rendu. Il existe aussi des films moins connus et peu distribués comme le Foma R100.
  2. Utiliser des films noir et blanc négatifs « classiques » complétés par un traitement particulier (comme le traitement C4, ou alors parfois fourni en kit par le constructeur, comme Kodak avec la T-Max 100). Ce type de traitement demande parfois une baisse de la sensibilité du film.

Mais avec la disparition d'Agfa, seule la deuxième méthode reste vraiment utilisable - noter cependant que le laboratoire Arka-Dupon a acheté un important stock de Scala 200X et que cette dernière y reste donc encore en vente pour quelque temps.