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[2.4.8] Le CD-i est-il compatible avec le DVD ?
De manière générale, non. La plupart des lecteurs de DVD ne liront pas les CD-i (Green Book). Toutefois, Philips a annoncé un lecteur de DVD compatible avec les CD-i. Certains s'attendent à voir Philips créer un format « DVD-i » dans l'espoir d'insuffler un peu de vie dans l'univers du CD-i (et amortir quelque peu le milliard de dollars (environ) investit dans le CD-i). 
[2.4.9] Le Enhanced CD est-il compatible avec le DVD ?
Oui. Les lecteurs de DVD liront les programmes musicaux des CD Enhanced Music (Blue Book, CD Plus, CD Extra), et les lecteurs de DVD-ROM liront à la fois les programmes musicaux et les données. Les anciens formats (mixed mode, track zero) devraient aussi être compatibles, il pourrait toutefois y avoir un problème avec les pilotes de DVD-ROM se passant de la piste zéro (comme ce fut le cas avec des pilotes de CD-ROM récents). 
[2.4.10] Le CD+G est-il compatible avec le DVD ?
Seuls les lecteurs Pioneer DVL-9 et les modèles karaoké du même constructeur, DV-K800 et DVK-1000, sont compatibles avec les CD+G. La plupart des autres lecteurs de DVD-Vidéo ne seront probablement pas compatibles avec ce format quasi obsolète. Tous les lecteurs de DVD-ROM sont compatibles avec le CD+G, mais nécessitent un logiciel particulier. 
[2.4.11] Le CDV est-il compatible avec le DVD ?
Le CDV est, en quelque sorte, une étrange mixture de CD et de laserdisc. Une partie est composée de 20 minutes de son numérique que les lecteurs de CD et de DVD pourront lire. Une autre partie contient 5 minutes de vidéo analogique (et de son numérique) au format laserdisc, que seul peut lire un système compatible CDV. Toutefois, Pioneer et d'autres constructeurs ont annoncé des lecteurs pouvant lire des DVD, des laserdiscs et des CDV. 
[2.4.12] Le MP3 est-il compatible avec le DVD ?
Non. Le MP3 est le format de compression du son MPEG-1 Layer 3. Les spécifications du DVD-Vidéo n'imposent que le Layer 2. MP3 peut être lu sur un ordinateur équipé d'un lecteur de DVD-ROM, mais pas sur un lecteur de DVD-Vidéo. 
  
[2.4.13] Le HDCD est-il compatible avec le DVD ?
Oui. Le HDCD (high-definition compatible digital) de Pacific Microsonics est un procédé d'encodage qui améliore les CD audios leur permettant d'être lus par les lecteurs de CD et DVD standards (et prétendument 
avec un rendu meilleur que les CD) et offrant 4 bits de précision supplémentaires (20 bits au lieu de 16) lorsqu'ils sont lus sur des lecteurs de CD et DVD équipés de décodeurs HDCD. 
[2.5] Le laserdisc est-il compatible avec le DVD ?
Non. Les lecteurs de DVD standards ne peuvent lire les laserdiscs, tout comme on ne peut lire de DVD sur un lecteur de laserdisc standard. (Le laserdisc utilise de la vidéo analogique, le DVD de la vidéo numérique ; ce sont des formats très différents.) 
Toutefois, Pioneer et Samsung ont annoncé des lecteurs « combo » qui peuvent lire à la fois des laserdiscs et des DVD ( ainsi que CDV et CD). Denon aurait aussi un lecteur LD/DVD en préparation. 
[2.6] Le DVD va-t-il remplacer le laserdisc ? Dois-je acheter un lecteur de LD maintenant ou dois-je attendre le DVD et la HDTV ?
D'une certaine manière le DVD a déjà remplacé le laserdisc, dans le sens où c'est clairement le choix de consommateurs à la recherche de vidéo haute-qualité. Mais le laserdisc sera encore là pour très longtemps, car il est très largement implanté comme format pour vidéophile. Il y a plus de 9000 titres actuellement disponibles (en NTSC) et un total de plus de 35 000 titres tous standards confondus et plus de 7 millions de lecteurs dans le monde. Il faudra plusieurs années avant que le catalogue et le parc de DVD atteignent ce niveau. D'ici là, le laserdisc a l'avantage d'occuper déjà le terrain. Pioneer et d'autres constructeurs ont affirmé leur ferme intention de soutenir le laserdisc encore plusieurs années (le 7 septembre 1998, le Président de Pioneer Kaneo Ito a déclaré que sa société s'attend à trouver des produits liés au laserdisc encore un an et demi ou deux ans). Il n'y a aucune raison d'arrêter d'en acheter, surtout les titres rares qui ne pourraient paraître en DVD que dans un certain temps, voire jamais. Même les possesseurs de laserdisc équipés de DVD ne remplaceront pas leur collection rapidement. Le laserdisc et le DVD coexisteront encore longtemps. 
En décembre 1996, la FCC a validé le standard DTV pour les Ιtats-Unis. Les téléviseurs HDTV seront disponibles fin 1998 ou début 1999 mais à un prix exorbitant et ne deviendront accessibles qu'après quelques années. Le DVD sera encore meilleur sur ce type de téléviseur mais ne fournira pas de haute résolution. (Voir 2.9  pour davantage d'informations sur le DVD et le HDTV) 
La décision finale dépend de vous. Si vous souhaitez être parmi les premiers à adopter de nouvelles technologies, vous voudrez sans attendre acquérir un lecteur de DVD ou un « combo » LD/DVD. Si vous préférez attendre la baisse des prix du DVD et la chasse aux «  bugs » terminée, vous vous exposez alors à une longue attente. Si vous considérez que le DVD est une amélioration insuffisante et qu'il vaut mieux attendre la HDTV, l'attente sera encore plus longue. Entre temps vous pouvez profiter d'un catalogue de laserdisc déjà imposant. Ou vous pouvez économiser pour le DVD (qui sera à un prix modeste) ou la HDTV (qui sera très cher). Si vous vous équipez d'un lecteur de laserdisc et d'un système Home Cinéma (ampli multi-canaux et enceintes), ils seront toujours utiles au DVD et à la HDTV. La HDTV nécessitera un nouveau téléviseur, mais sera compatible avec le reste de votre installation. 
Malheureusement, le marché du laserdisc a été frappé de plein fouet par l'annonce du DVD. En 1996, les ventes de lecteurs de laserdisc ont chuté de 37% ; les ventes de magnétoscopes et de système HiFi et Home Cinéma étaient pourtant en progression. Le seul avantage de cette situation est la baisse des prix des laserdisc. (Les ventes de titres en laserdisc baissaient seulement de 2.5% en 1996.) 
[2.7] Comment se positionne le DVD face au laserdisc ?
•	Caractéristiques : Le DVD présente les mêmes fonctionnalités de bases qu'un laserdisc CLV («  scan », pause, et recherche) et CAV (arrêt sur image et ralenti) et en plus ajoute les possibilités de montage transparent, d'angles de vues multiples, de protection par code parental, de gestion par menus, d'interactivité etc. Certaines de ces fonctionnalités ne seront pas, dans un premier temps, systématiquement utilisées. Contrairement au laserdisc CAV, le DVD ne peut pas lire à vitesse normale en arrière ou image par image en arrière (c'est techniquement possible mais aucuns des lecteurs actuels n'en est capable). 
•	Capacité : Un DVD simple couche peut contenir plus de 2 heures de programmes, un DVD double couche plus de 4 heures. Un laserdisc CLV contient 1 heure et la version CAV, 30 minutes. Le DVD peut, de plus, contenir des centaines d'images fixes avec plus de vingt heures de commentaire. 
•	Aspect pratique : Un film dans sa totalité peut tenir sur une face d'un DVD, il n'est donc pas nécessaire de retourner le disque ou d'attendre que le lecteur ne bascule sur l'autre face. Les DVD sont de petite taille et faciles à manipuler. Les lecteurs de DVD sont aussi faciles à transporter que les lecteurs de CD. L'envoi par la poste des DVD est économique et simple, contrairement au laserdisc avec leur packaging encombrant (même si il permet des illustrations sur la jaquette forcément plus belle). 
•	Bruit : La plupart des lecteurs de laserdisc produisent à la lecture un ronronnement perceptible durant les moments calmes du film. Les lecteurs de DVD sont pour la plupart aussi silencieux qu'un lecteur de CD. 
•	Audio : Le laserdisc est de meilleure qualité avec des pistes Dolby Surround. Le DVD est de meilleure qualité avec des pistes Dolby Digital. Le laserdisc a deux types de pistes audio : analogiques et numériques. Le DVD peut avoir juqu'à 8 pistes audio. Le laserdisc utilise des pistes PCM codées en 16 bits à 44kHz. La piste LPCM du DVD peut être codée en 16, 20 ou 24 bits à 48 ou 96 kHz (bien que le PCM ne sera pas utilisé pour la plupart des films). Le laserdisc peut avoir des pistes audio au format Dolby Surround, Dolby Digital (AC-3) et DTS. La possibilité d'avoir un son surround sur 5.1 canaux est possible en utilisant une des deux pistes analogiques (pour le Dolby Digital) et les deux pour le DTS. Le DVD utilise le même son Dolby Digital, habituellement à un débit de données identique (384 kbps) mais pouvant atteindre 448 kbps pour une meilleure qualité. Le DVD peut, de manière optionnelle, inclure du son DTS (à un débit pouvant atteindre 1536 kbps, le laserdisc n'offrant pour ce format sonore 1411 kbps, même si en pratique les débits DTS seront probablement inférieur à ceux du LD). Les lecteurs de DVD convertissent le Dolby Digital en Dolby Surround. Cette conversion (downmix) peut produire une réduction de la dynamique. En plus de l'effet de la compression, cela peut résulter en un son de moins bonne qualité que les pistes Dolby Surround du laserdisc. 
•	Vidéo : La vidéo est habituellement de meilleure qualité. Le laserdisc souffre de la perte de qualité inhérente à l'enregistrement analogique du signal ainsi qu'aux caractéristiques des signaux composites PAL et NTSC. La vidéo du DVD est numérique, et malgré le taux de compression important, la plupart des professionnels s'accordent (quand l'encodage est bien effectué) pour ne pas détecter de différence entre un DVD et le master de studio. Cela ne veut toutefois pas dire que la vidéo du DVD, surtout dans un premier temps, SERA meilleure que le laserdisc. Seulement qu'elle PEUT être meilleure. Il faut aussi garder à l'esprit que le téléviseur moyen est de qualité insuffisante pour différencier le DVD du laserdisc. Des systèmes Home Cinema et des téléviseurs HDTV sont nécessaires pour tirer avantage au maximum des améliorations du DVD. Le débat laserdisc contre DVD risque de faire rage encore longtemps. Le dernier mot est qu'il faut comparer les deux formats pour se faire une opinion personnelle. 
•	Résolution : Le DVD a une résolution de 345 600 pixels (720x480), ce qui représente 1,3 fois celle du laserdisc, 272 160 pixels (567x480). Un DVD 16/9 a 1.7 fois plus de pixels qu'un LD letterbox (ou 1.3 fois un LD anamorphosé). Pour ce qui est du nombre de lignes, le DVD est à environ 500 lignes, le laserdisc 425 et la VHS 240. (Ces chiffres sont valables pour le NTSC, et non pour le PAL). 
•	Disponibilité : Il y a actuellement beaucoup plus de lecteurs de laserdisc et un catalogue beaucoup plus large. Mais il y a davantage de lecteurs de DVD annoncés que de modèles de lecteurs de laserdisc disponibles. De nombreux ordinateurs récents pourront lire les DVD-Vidéo. 
•	Prix : Le prix des lecteurs de DVD n'est pas encore aussi abordable que le moins cher des lecteurs de laserdisc, mais le succès des DVD-ROM va inévitablement baisser les coûts jusqu'au niveau des lecteurs de CD. La plupart des films en DVD sont moins chers qu'en laserdisc, sauf lorsqu'ils sont destinés au marché de la location. 
•	Restrictions : Les codes régionaux (voir 1.10) empêchent la lecture de titres destinés à d'autres zones. Pour certains, la protection anti-copie Macrovision (voir 1.11) est plus que gênante. Le laserdisc n'a pas de protection anti-copie et de restrictions régionales autres que les différences entre PAL et NTSC. 
Encore une fois, il faudra de longues années pour que le catalogue de titres, le nombre de lecteurs installés ainsi que la qualité du processus de fabrication n'atteignent  le niveau du laserdisc. Le DVD et le laserdisc coexisteront durant encore, au moins, une autre décennie. Mais le potentiel du DVD ne peut être ignoré, car il est le mieux placé pour remplacer le laserdisc à long terme. 

[2.8] Est-il possible de modifier mon lecteur de LD pour le rendre compatible avec le DVD   ?
C'est peu probable. Les composants nécessaires au DVD sont complètement différents, le « pickup » laser est à une longueur d'onde différente, le contrτledu faisceauest plus précis, etc. Aucune formule « d'upgrade  » n'a été annoncée, ce serait d'ailleurs plus coûteux que l'achat d'un lecteur de DVD. 
[2.9] Le DVD est-il compatible avec la HDTV (DTV/ATV) ? La HDTV rendra-t-il le DVD obsolète ?
En un mot : Partiellement. Non. 
Tout d'abord, quelques brèves définitions : HDTV (high-definition TV - télévision haute définition) comprend les télévisions analogique et numérique qui ont un ratio 16:9 et approximativement une résolution 5 fois supérieurs à la télévision standard (double vertical et horizontal et format plus large). DTV (digital TV - télévision numérique) concerne les diffusions numériques en génral et au standard américain ASTC en particulier. Le standard ASTC comprend à la fois les formats numériques SD et (standard format) et HD (high definition). 
Le DVD n'est pas directement compatible avec la HDTV. Le standard HDTV n'était pas finalisé lors de la conception du DVD. Pour être compatible avec les téléviseurs disponibles, le nombre d'image par seconde et la résolution de la vidéo MPEG-2 utilisées par le DVD furent définie d'après les formats vidéo NTSC et PAL/SECAM. Le DVD utilise le ratio 16:9 que la HDTV et le format sonore Dolby Digital de la DTV américaine. 
La HDTV aux Etats-Unis fait partie du nouveau format ASTC DTV. La résolution et le nombre d'image par seconde de la DTV aux Ιtats-Unis correspondront aux recommandations de l'ATSC : 704x480 (24P, 30P, 60I, 60P), 1280x720 (60P), 1920x1080 (30P). Les premières valeurs, « définition standard », sont compatibles avec le DVD. Les prochains lecteurs de DVD convertiront probablement le signal vidéo des disques disponibles actuellement au format SDTV (toutes sauf les 60P). Les deux derniers formats HDTV sont d'une « haute définition » représentant 2.7 à 6 fois celle du DVD. La version 60P à un nombre d'image par seconde double. L'ITU-R fonctionne avec les standards HDTV BT.709, c'est-à-dire 1125/60 (1920x1035/30) (comme le SMPTE 240M, similaire à la HDTV analogique MUSE japonaise) et 1250/50 (1920x1152/25). Ce dernier est d'une résolution correspondant à 5.3 fois celle du DVD au format 720x576/25. En d'autres termes, le DVD-Vidéo ne supporte pas les niveaux les plus hauts de la HDTV. 
La HDTV ne rendra pas le DVD obsolète. Ceux qui reporteront l'achat d'un lecteur de DVD en attente de la HDTV risquent de patienter longtemps. Les téléviseurs HDTV furent disponibles fin 1998 à des prix très élevés (à partir de 5 000$). Il faudra plusieurs années avant que le parc de téléviseurs HDTV ne représente quelques pour cent du nombre de téléviseurs dans les foyers. La CEMA prévoit que 10 % des foyers aux Ιtats-Unis auront un téléviseur HDTV en 2003, 20 % en 2005 et 30% en 2006. 
Les téléviseurs HDTV seront équipés de connecteurs vidéo analogiques (composite, s-vidéo et « component  ») qui fonctionneront avec tous les lecteurs de DVD ainsi qu'avec d'autres équipements comme les magnétoscopes. Les lecteurs et les disques actuellement sur le marché fonctionneront parfaitement sur les téléviseurs HDTV, et fourniront une image de qualité supérieure à tous les autres formats préenregistrés destinés au grand public, surtout lorsque les lecteurs « progressive-scan  » seront disponibles. La manière la plus économique de passer au HDTV étant d'acheter un convertisseur pour les téléviseurs existants, la HDTV ne sera, pour la plupart, guère meilleure que le DVD. 
A terme, les téléviseurs HDTV supporteront les connecteurs vidéo numériques « component » (YCrCb) ou des connections de données numériques (FireWire/IEEE 1394). Les connecteurs numériques permettront l'affichage le meilleur possible à partir d'un DVD, surtout en mode 16:9. Une fois les lecteurs de DVD équipés de sortie numérique, ils pourrait être utilisés comme « vecteur  » capable de sortir tout format de donnée A/V (y compris des formats développés après la fabrication du lecteur) vers un convertisseur ou un équipement d'affichage. 
Le point intéressant, que peu de personnes considère, est que la DTV sera très bientτt, très performante et bon marché pour les PC. Un an avant de pouvoir acheter un téléviseur DTV, vous pouviez acheter un PC avec un DVD, un écran 34'' VGA et regarder dans de très bonnes conditions des films DVD à balayage progressif. Tous cela pour moins de 3000$. La qualité d'un bon PC DVD connécté à un projecteur vidéo "data-grade" surpasse un doubleur de ligne à 30000$. (Voir NetTV et Digital Connection pour des informations sur leurs produits.) 
A terme, il y aura un format « DVD-HD », probablement en 2003 au plus tτt, ce format se basera sur des disques de plus haute capacité et sur le laser bleu ou pourpre (déjà montré par plusieurs constructeurs de DVD). Les lecteurs de DVD-HD liront les DVD actuels et les rendront encore meilleurs. Curieusement, les ordinateurs équipés de DVD-ROM supporteront la HDTV avant les lecteurs de DVD-Vidéo, car les lecteurs double vitesse (avec le matériel nécessaire à la lecture et à l'affichage) peuvent d'ores et déjà respecter le débit de 19 Mbps requis pour la HDTV. 
Rem : Le terme « HDVD » est déjà utilisé pour «  High-density Volumetric Display ». 
Certains ont supposé qu'un lecteur à « double tête  » lisant les deux faces d'un disque en même temps pourrait doubler le débit de données, et ce, dans le but d'applications comme le HDTV. C'est pour le moment impossible car les pistes du DVD se lisent dans des directions opposées (à moins d'utiliser les quatre couches). Les spécifications du DVD devraient être changées pour permettre le « reverse spiral » sur la couche 0. Une fois là, garder les deux faces synchronisées, spécialement avec le débit variable du MPEG-2, nécessiterait des têtes de lecture indépendantes et un tampon plus sophistiqué. 
 
  
[2.10] Divx : Qu'est-ce que c'est  ?
Suivant les points de vue, Divx (anciennement nommé ZoomTV) est soit un système malsain donnant le contrτle aux studios hollywoodiens sur ce que nous visionnons dans nos salons, soit un moyen novateur de location de disques permettant de les acheter quasiment n'importe où et de les garder pour les visionner ultérieurement. Dans tous les cas, Divx va perturber le consommateur et retarder l'adoption du DVD. Conηu par Circuit City et un cabinet d'avocat basé à Hollywood, Divx est prévu pour l'été 1998, avec une sortie de lecteurs et de disques en automne 1998. Disney (Buena Vista), Twentieth Century Fox, Paramount, Universal, et Dream Works vont éditer des disques Divx. JVC, Matsushita (Panasonic), Thomson (RCA/Proscan/GE) et Zenith travaillent sur des lecteurs Divx. Les studios auraient reηu des primes d'un total de 20 millions de dollars pour leur participation au Divx. 
Divx est, pour résumer, une variation « pay-per-view  » du DVD. Les disques Divx seront vendus à un prix compris entre 5 et 7$. A partir de l'insertion dans le lecteur, le disque sera lu normalement durant 48 heures, au-delà le « propriétaire » doit payer entre 3 et 5$ pour déverrouiller le disque pour 48 heures de plus. Le lecteur Divx doit être connecté à une ligne téléphonique pour appeler le central Divx, durant la nuit et quelques fois par mois, et ainsi télécharger les informations de facturation. Les disques Divx Silver peuvent être déverrouillés de manière permanente en payant un prix plus important. Les disques Divx Gold peuvent être mis à la vente. Les lecteurs Divx peuvent lire les DVD « normaux » (on parle aussi de Open DVD), mais les disques Divx ne peuvent être lus dans un lecteur de DVD « normal ». Les disques Divx sont marqués par un code barre dans la Burst Cutting Area et en plus de la protection anti-copie déjà présente sur les DVD (voir 1.11), ils utilise le « watermarking » et un cryptage triple DES. Aucun support de l'industrie informatique n'a été annoncé, et il faudrait, dans ce cas, un matériel de décryptage car le DES est trop robuste pour un décodage logiciel en temps réel. L'utilisation du DES entraînerait l'interdiction de l'exportation de la technologie Divx hors des Ιtats-Unis. 
Divx devait initialement annoncé pour l'été 1998. Le lancement-test de Divx a débuté le 8 juin 1998 à San Francisco (Californie) et Richmond (Virginie). Le seul lecteur disponible est fabriqué par Zenith (qui est au bord de la faillite), et la promesse de 150 titres s'est limité à quelques 14 disques. Le lancement national (avec un modèle de lecteur Zenith et 150 films dans 19 magasins) a débuté le 25 Septembre 1998. A la fin 1998, environ 87 000 lecteur Divx (parmis quatre types de lecteur disponibles) et 535 000 disques Divx ont été vendus (parmis 300 titres disponibles). Si Divx comptabilise les cinq disques offert lors de l'achat du lecteur, seulement 100 000 disques aurait été vendus. 
Avantages de Divx : 
•	On peut retarder la vision d'un film, contrairement à la location de VHS, par exemple. 
•	Il n'est pas nécessaire de ramener les disques. Pas d'amendes pour les retardataires. 
•	On peut revoir le film pour un coût réduit. 
•	Le disque est neuf et ne souffre pas des locations précédentes. 
•	Le marché de la location est désormais ouvert à d'autres secteurs, y compris à la vente par correspondance. 
•	Les studios ont davantage de contrτle sur leurs films. 
Inconvénients de Divx : 
•	Les lecteurs Divx sont plus chers que pour le DVD (tout d'abord environ 100$ de plus, et peut-être finalement 50$ de plus) 
•	Plus cher que pour la location de DVD « normaux  » (4 à 5$ et 2 à 3$). Détenant le monopole, il y a très peu d'obstacles à des augmentations de prix plus tard. 
•	Regarder un nom dans le générique, revoir une scène ou regarder les suppléments par exemple, nécessitera un paiement. 
•	Le lecteur doit être connecté à une ligne téléphonique, ce qui veut dire une prise en plus dans le salon. 
•	Si votre ligne téléphonique est coupée pendant un certain temps, vous pourriez ne plus pouvoir regarder de disques Divx. 
•	Divx rassemble des informations sur vos habitudes de spectateurs. 
•	Le lecteur Divx comprend une « boîte à lettre  » pour de la publicité non sollicitée. 
•	Ceux qui ne verrouillent pas le lecteur Divx verront la facture s'alourdir si les enfants ou des visiteurs regardent des disques. 
•	Les disques Divx ne seront pas lus par des lecteurs de DVD ou sur des lecteurs de DVD-ROM. Des consommateurs mal informés achèteront des disques Divx qu'ils ne pourront lire dans leurs lecteurs de DVD. 
•	Les disques déverrouillés ne fonctionneront que sur les lecteurs appartenant au propriétaire des disques. La lecture chez un ami impliquera un coût. 
•	Pas de marché d'occasion des disques Divx. 
•	Divx risque de miner le marché de la location et de la vente du DVD (causant une possible augmentation du coût des disques non-Divx). 
•	Si Divx fait faillite, les disques Divx seront inutilisables. 
•	Les lecteurs Divx peuvent ne pas être disponibles hors des Ιtats-Unis. 
[3] Les caractéristiques techniques du DVD
[3.1] Quelles sont les sorties d'un lecteur de DVD ?
La plupart des lecteurs de DVD présentent les sorties suivantes : 
Vidéo : 
- Vidéo composite (CVBS) RCA/Cinch (NTSC ou PAL) 
- Y/C (s-vidéo) (NTSC ou PAL) 
Audio : 
- Dual RCA son analogique stéréo (avec encodage Dolby Surround) 
- Son numérique (IEC-958 Type II RCA coaxial (S/P DIF) ou EIAJ CP-340 optique (Toslink)). Le signal numérique (AC-3, MPEG-2, PCM, ou les formats optionnels DTS ou SDDS) nécessite un décodeur externe ou un ampli avec décodeur intégré. (Rem : La sortie numérique AC-3 est différente de la sortie RF AC-3 des lecteurs de laserdisc.) 
Certains lecteurs peuvent avoir des sorties supplémentaires : 
- Vidéo analogique « component », NTSC ou PAL (YUV : 3 connecteurs RCA , RGB : connecteur SCART ou 3 connecteurs RCA) 
- Sortie vidéo RF pour une connection via le canal 3 ou 4 des téléviseurs sans entrée directe. (Panasonic DVD-A300, RCA 5500P) 
- 6 sorties RCA pour un son surround analogique. (Panasonic DVD-A300, RCA 5500P, Samsung DVD905) 
- Sortie RF AC-3 sur les lecteurs « combos » LD/DVD. LD AC-3 en sortie RF seulement, DVD AC-3 sur les sorties coaxial/optique seulement. (Pioneer DVL-90, DVL-700) 
Certains lecteurs et amplis ne supportent que S/P DIF ou Toslink. Si votre lecteur et votre ampli ne sont pas compatible, vous aurez besoin d'un convertisseur comme le Midiman C02. 
La plupart des lecteurs munis de sorties « component  » utilisent YUV, qui est incompatible avec le RGB. Les lecteurs européens équipés de sortie SCART ont des sorties RGB. Des transcodeurs YUV vers le RGB seraient disponible pour 200-300$, mais sont difficiles à trouver. Un convertisseur (700$) est disponible chez avscience et un convertisseur à 900$, le CVC 100, est disponible chez Extron. 
Rem : Le terme correct pour la sortie analogique «  color-difference » est Y'Pb'Pr', et non Y'Cb'Cr' (qui est numérique et non analogique). Pour simplifier, ce FAQ utilise le terme YUV, dans son sens général, pour se référer aux signaux de différence de couleurs. 
Aucun lecteur de DVD-Vidéo n'a été annoncé avec des sorties vidéo numériques, on s'attend à voir apparaître des sorties numériques utilisant les connecteurs FireWire (IEEE 1394). 
[3.2] Comment brancher un lecteur de DVD ?
Cela dépend de votre installation audio/vidéo et du lecteur de DVD. La plupart des lecteurs de DVD ont 2 ou 3 possibilités de connections vidéo et 3 pour le son. Choisissez la possibilité permettant le meilleur rendu (voir plus bas) que votre système audio/vidéo peut offrir. 
Vidéo 
•	Vidéo component (la meilleure connexion possible) : Certains lecteurs américain et japonais ont des sorties vidéo YUV sous la forme de 3 connecteurs RCA ou BNC. Ces connecteurs peuvent être indiqués YUV, « color difference  », YPbPr, or Y/B-Y/R-Y et de couleur vert/bleu/rouge. Certains lecteurs ont une sortie vidéo component RGB par un connecteur SCART de 20 broches ou 3 connecteurs RCA ou BNC indiqué R/G/B. Branchez les câbles des trois sorties du lecteur aux trois entrées du téléviseur, ou un câble SCART du lecteur au téléviseur. Rem : Connecter un signal YUV sur du RGB ne marchera pas ; un transcodeur est nécessaire. (Rem : D'après des témoignages (mais non vérifiés), le Toshiba SD-3006 aurait une sortie component avec une conversion de couleur de mauvaise qualité.) 
•	S-vidéo (Bonne qualité) : Presque tous les lecteurs ont une sortie s-vidéo.Branchez le câble s-vidéo du lecteur au téléviseur (ou à un ampli A/V qui peut brasser des prises s-vidéo). Le connecteur rond de 4 broches peut être indiqué Y/C, s-vidéo, ou S-VHS. 
•	Vidéo composite (Correcte) : Tous les lecteurs de DVD ont des connecteurs vidéo standards RCA (Cinch). Branchez le câble du lecteur au téléviseur (ou à un ampli A/V). Les connecteurs sont habituellement jaunes et peuvent être indiqués « vidéo », « CVBS », «  composite », ou « baseband ». 
•	RF vidéo (La pire) : Quelques lecteurs ont une sortie vidéo RF pour les téléviseurs munis d'une prise d'antenne uniquement. Branchez le câble coaxiale du lecteur au téléviseur. Un adaptateur 300 ohm vers 75 ohm peut être nécessaire. Régler le téléviseur sur le canal 3 ou 4 et réglez le commutateur situé derrière le lecteur en fonction. Le son passe par le câble RF et est donc mono, et cela même si vous avez un télévisuer stéréo. Si vous avez un lecteur sans sortie RF, vous pouvez acheter un modulateur (environ 30$) si votre téléviseur n'a pas d'autre entrée que  RF. Vous pouvez aussi rediriger la vidèo vers un magnétoscope puis vers le téléviseur mais cela risque de poser des problèmes avec l'image avec les disques protéger avec la Macrovision (Voir 1.11). 
Attention : Si vous connectez votre lecteur de DVD sur votre téléviseur par votre magnétoscope, vous risquez d'avoir des problèmes avec les disques qui activent les circuits Macrovision. Cela se traduit par un assombrissement et un éclaircissement répétés de l'image. 
Rem : La plupart des lecteurs de DVD supportent le «  widescreen signalling », qui indique au téléviseur widescreen le ratio pour qu'il puisse s'ajuster automatiquement. Le standard ITU-R BT.1119, utilisé essentiellement en Europe, inclus l'information dans une ligne vidéo. Un autre standard, pour les connecteurs Y/C ajoute un signal DC pour indiquer le signal widescreen. Malheureusement, certains commutateurs et amplis éliminent ce signal DC au lieu de le transmettre au téléviseur. 
Audio
Rem : Tous les lecteurs de DVD ont un décodeur Dolby Digital (AC-3) ou un décodeur MPEG-1, ou bien les deux. Les décodeurs MPEG-2 ne sont pas disponibles actuellement. Le décodeur traduit le signal numérique multi-canal en PCM et le ressort par la sortie numérique et convertit en analogique pour la sortie audio standard. 
  
•	Audio numérique (meilleur rendu) : Presque tous les lecteurs ont des sorties numériques Dolby Digital (AC-3), MPEG-2 audio, PCM, DTS, et SDDS, le décodeur approprié est nécessaire dans l'ampli ou en externe. Pour le PCM, un ampli avec un DAC intégré ou externe est nécessaire. Le DTS arrive tous juste ; il faudra laors de nouveaux lecteurs et le matériel de décodage approprié dans le lecteur ou dans l'ampli ou dans un processeur externe. Toutefois, tous les lecteurs de DVD peuvent lire les CD DTS si un décodeur DTS est branché sur la sortie numérique PCM.Certains lecteurs ont des prises coaxiales (SP/DIF), d'autres des prises optiques (Toslink), et beaucoup ont les deux. Branchez le câble coaxial 75 ohms ou le câble optique du lecteur vers l'ampli/processeur. Certains lecteurs ont des prises séparées pour DD/MPEG et pour PCM. Sur d'autres, il faut sélectionner le format avec le menu du setup ou par un commutateur à l'arrière du lecteur. Rem : Assurez vous d'utiliser un câble de qualité ; un câble RCA peut ne pas fonctionner. Rem : Faire le branchement sur la prise AC-3/RF ne fonctionnera pas à moins que votre ampli/processeur ne soit capable de commuter automatiquement, car le signal numérique audio du DVD n'est pas RF. (Voir plus bas) 
•	Audio analogique component (Correcte) : Certains lecteurs fournissent en sortie du décodeur interne Dolby Digital, un signal 6 canaux analogique. La qualité de la conversion numérique-analogique peut être plus ou moins bonne qu'une conversion par un décodeur externe. Un ampli avec 6 entrées est alors nécessaire ; ce type d'unité est souvent indiqué comme « Dolby Dgital ready » ou « AC-3 ready ». Malheureusement, dans la plupart des cas, il n'est pas possible d'ajuster le niveau d'écoute de chaque canal. Branchez les 6 câbles audio sur les prises RCA du lecteur et les prises correspondantes de l'ampli. Certains amplis nécessitent l'utilisation d'un connecteur DB-25 à une extrémité du câble et un connecteur RCA à l'autre. 
•	Audio analogique stéréo/surround (ok)   : Tous les lecteurs de DVD disposent de sorties RCA pour un rendu stéréo. Tous les disques avec du son Dolby Digital ou du MPEG-2 audio seront décodés et « downmixés » automatiquement en Dolby Surround pour un système stéréo ou Dolby Surround/Pro Logic. Branchez deux câbles audio du lecteur vers l'ampli ou le téléviseur. Les prises peuvent être indiquées « audio » ou left (en blanc)/right (en rouge). 
•	Audio numérique RF (pour les LD seulement)  : Les lecteurs combo LD/DVD possèdent une sortie AC-3 RF pour le signal numérique du LD. Branchez le câble coaxial sur l'entrée AC-3 RF de l'ampli/processeur. Rem : Le signal numérique des DVD ne passe pas par la sortie RF, mais par les sorties coaxiales ou optiques. Le signal sonore analogique des LD sortira des connecteurs stéréos, il faut donc trois branchements pour couvrir toutes les possibilités. 
[3.2.1] Y-a-t-il un prolème si je branche mon magnétoscope entre mon téléviseur et mon lecteur de DVD ?
C'est généralement une mauvaise idée de faire transiter la vidéo d'un lecteur de DVD à travers un magnétoscope. La plupat des films utilisent le système de protection Macrovision, qui engendre un éclaircissement et un assombrissement de l'image. Voir 1.11 et la section vidéo RF de 3.2. 
[3.3] Quelles sont les tailles et les capacités du DVD ?
Il existe plusieurs variations du format. Il y a deux diamètres : 12 cm (4,7 pouces) et 8 cm ( 3,1 pouces), les deux étant de 1,2 mm d'épaisseur, ce qui correspond au dimension du CD. Un DVD peut avoir une ou deux faces. Chacune d'elles peut avoir une ou deux couches de données. La durée de vidéo qu'un disque peut contenir dépend de la quantité de signal sonore qui l'accompagne et de l'importance de la compression du son et de la vidéo. La durée  de 133 minutes, abusivement proclamée un peu partout, est un non-sens : un DVD avec une piste sonore peut largement contenir plus de 160 minutes ; et en utilisant une couche, on peut y mettre jusqu'à 9 heures de vidéo et de son si la compression produit un résultat équivalent à la VHS. 
A un débit moyen de 4,7 Mbps (3.5 Mbps pour la vidéo, 1.2 Mbps pour trois pistes 5.1 canaux), un DVD avec une couche de données peut contenir 135 minutes de programme. Un film de trois heures avec trois pistes sonores atteint un débit de 5,2 Mbps. Un DVD double couche peut contenir un film de deux heures avec un débit moyen de 9,5 Mbps (débit très proche du maximum de 10,08 Mbps). 
Capacité du DVD :
Pour mémoire, un CD-ROM peut stocker 650 Mo, ce qui représente 0,64 Go ou 0,68 milliard d'octets. Dans la liste suivante, SF/DF signifie simple face/double face, SC/DC signifie simple couche/double couche, Go représente un gigaoctet (230), md représente milliard d'octets (109). 
  
•	DVD-5 (12cm, SF/SC) : 4.38 Go (4.7 md) de donnée, plus de 2 heures de vidéo 
•	DVD-9 (12cm, SF/DC) : 7.95 Go (8.5 md), environ 4 heures 
•	DVD-10 (12cm, DF/SC) : 8.75 Go (9.4 md), environ 4 heures 30 mn 
•	DVD-18 (12cm, DF/DC) : 15.90 Go (17 md), plus de 8 heures 
•	DVD-1 (8cm, SF/SC) : 1.36 Go (1.4 md), environ une demi heure 
•	DVD-2 (8cm, SF/DC) : 2.48 Go (2.7 md), environ 1.3 heures 
•	DVD-3 (8cm, DF/SC) : 2.72 Go (2.9 md), environ 1.4 heures 
•	DVD-4 (8cm, DF/DC) : 4.95 Go (5.3 md), environ 2.5 heures 
•	DVD-R (12cm, SF/SC) : 3.68 Go (3.95 md) 
•	DVD-R (12cm, DF/SC) : 7.38 Go (7.9 md) 
•	DVD-R (8cm, SF/SC) : 1.15 Go (1.23 md) 
•	DVD-R (8cm, DF/SC) : 2.29 Go (2.46 md) 
•	DVD-RAM (12cm, SF/SC) : 2.40 Go (2.58 md) 
•	DVD-RAM (12cm, DF/SC) : 4.80 Go (5.16 md) 
Rem : Il faut environ deux milliards d'octets pour stocker deux heures de vidéo de qualité moyenne. 
L'augmentation de capacité par rapport au CD-ROM est due à : 1) des pits plus petits (environ 2,08 fois plus petit), 2) des pistes plus resserrées (environ 2,16 fois plus proches les unes des autres), 3) une zone de données un peu plus grande (environ 1,32 fois), 4) une modulation des channels bit plus efficace (environ 1.06 fois), 5) un système de correction d'erreurs plus efficace (environ 1,32 fois), 6) moins de « sector overhead » (1,06 fois). Pour un disque simple couche, cela porte la capacité à 7 fois celle d'un CD-ROM.
La capacité d'un DVD double couche est légèrement inférieure à celle d'un disque simple couche. Le laser doit lire « à travers » la couche la plus proche de la tête pour accéder à la couche inférieure. Pour éviter des erreurs de lecture, la longueur minimum d'un pit est augmentée de 0,4 um à 0,44 um. En plus de cela, la vitesse de « reference scanning » est légèrement augmentée -- 3.84 m/s contre 3.49 m/s pour les disques simple couche. Des pits plus grands et plus espacés sont plus facilement lus et moins susceptibles de générer un effet « jitter » ; le fait qu'il y ait moins de pits et plus espacés explique une capacité par couche réduite. 
Voir 4.2  pour plus d'informations sur le DVD enregistrable (DVD-R et DVD-RAM). 
  
[3.3.1] Quand les disques doube face, double couche (DVD-18) seront disponible ?
Pas aussi tτt que certains le souhaiteraient (y compris Jim Cameron). La technologie DVD-18 n'est pas encore tout à fait sortie du laboratoire.Les disques simple face, double couche sont fabriqués en plaηant une couche de donnée sur chaque substrat et en fixant les deux moitiés avec un adhésif transparent de sorte que le faisceau puisse lire les deux couches à partir de la même face. Mais pour obtenir quatre couches, chaque substrat doit en contenir deux. Cela implique d'appliquer une seconde couche sur la première, ce qui beaucoup compliqué. Même avec le développement de nouveaux équipements et leur installation en production, le nombre de disques correctement produit et utilisable sera très faible jusqu'à ce que le processus soit affiné. 
WAMO et d'autres ont annoncé des progrès concernant les DVD-18, mais compte tenu de la durée nécessaire pour produire correctement des disques double couche - simple face, il faudra encore plus de temps avant que le nombre de disques utilisables permettent une distribution large et viable économiquement. Entretemps, nous verront des DVD-14 (deux couches sur une face et une sur l'autre face), car ils sont plus faciles à produire. 
(Mon avis personnel est que nous ne trouverons pas de DVD-18 en large diffusion avant l'automne 1999) 
[3.4] Quelles sont les caractéristiques vidéo ?
Le DVD-Vidéo est une application du DVD-ROM et du MPEG-2. Le DVD-Vidéo se définit comme un sous-ensemble du standard DVD. Le DVD-ROM peut stocker n'importe quelle donnée numérique, mais le DVD-Vidéo n'est limité qu'à certains types de données destinés à être diffusées sur un téléviseur ou un système de projection. 
Un DVD contient un signal vidéo numérique MPEG-2 à débit constant (CBR) ou débit variable (VBR). Une version réduite du MPEG-2 Main Profile at Main Level (MP@ML) est utilisée. SP@ML est aussi supporté. On peut aussi trouver un signal MPEG-1 à débit constant (CBR) ou débit variable (VBR). Les systèmes vidéo 525/60 (NTSC, 29.97 images par seconde entrelacées) et 625/50 (PAL, 25  images par seconde entrelacées) sont les formats de prédilection. 

Les tailles maximales d'images sont de 720x480 (29.97 images par seconde) ou 720x576 (25 images par seconde). L'image est échantillonnée à partir de source 4:2:2 ITU-R 601 en 4:2:0, allouant une moyenne de 12 bits par pixel (la couleur étant toujours codée sur 24 bits). La source non compressée a un débit de 124.416 Mbps pour une source vidéo (720x480x12x30 ou 720x576x12x25), ou soit 99.533 ou 119.439 Mbps pour une source film (720x480x12x24 ou 720x576x12x24). En se basant sur le traditionnel (et plutτt subjectif) indice du nombre de lignes horizontales, le DVD peut avoir une résolution de 540 lignes sur un téléviseur standard (720/(4/3)) et 405 sur un téléviseur widescreen (720/(16/9)). Dans la pratique, la plupart des lecteurs fournissent 500 lignes à cause des processus de filtrage. Le VHS a une résolution de 230 (172 en widescreen) et le laserdisc 425 (318 en widescreen). 
Le nombre de bits du convertisseur numérique-analogique vidéo varie suivant les lecteurs. (Sony et Toshiba utilisent 10 bits, Pioneer et Panasonic, 9 bits) Cela n'a rien à voir avec le processus de décodage MPEG, car chaque élément du signal est limité à 8 bits par échantillon. Davantage de bits procure toutefois plus de « confort » lors de la conversion, ce qui peut aider à produire une image de meilleure qualité. 
Le débit vidéo maximum est de 9.8 Mbps. Le débit «  moyen » est de 3.5 mais dépend totalement de la durée, de la qualité du programme, du nombre de pistes sonores, etc. Le taux de compression est de 36:1 à partir des 124 Mbps non compressés (ou 28:1 à partir des 100 Mbps de la source film). Le flux brut de données est lu du disque avec un débit constant de 26.16 Mbps. Après une démodulation 8/16, ce débit descends à 13.08 Mbps. Après la phase de correction d'erreur, le flux de données est redirigé dans le buffer à 10.08 Mbps et dans le flux de données système à un débit variable pouvant atteindre 10.08 Mbps, qui est le débit maximum des flux élémentaires (audio, vidéo et « subpicture »). La vidéo MPEG-1 a un débit limité à 1.856 Mbps, avec une valeur courante de 1.15 Mbps. 
Les images fixes (encodées en tant qu'image-I MPEG-2) sont supportées et peuvent être affichées pour une durée précise ou indéfinie. Ces images sont habituellement utilisées pour les menus et peuvent être accompagnées de son. 
Un DVD peut aussi avoir jusqu'à 32 flux de «  subpicture » qui se superposent à l'image pour les sous-titres, les sous-titres destinés aux malentendants, aux enfants, pour le karaoké, les menus, de petites séquences animées, etc. Ces éléments s'affichent en plein écran. Pour chaque groupe de subpicture, 4 couleurs sont sélectionnées à partir d'une palette de 16 (de la gamme YCrCb), et quatre valeurs de contraste sur les 16 niveaux de transparent à opaque. Le contrτle de l'affichage de ces « subpictures » en séquence peut être utilisé pour créer des effets de surbrillance, de mouvement ou de fondu. Le débit maximum du flux « subpicture » est 3.36 Mbps, avec une taille maximum par image de 53 220 octets. 
En plus des sous-titres, le DVD supporte aussi le Closed Caption NTSC. Le texte Closed Caption est enregistré dans le flux vidéo en tant que données utilisateur MPEG-2 (dans les headers) et est régébéré par le lecteur comme une donnée analogique dans la ligne 21 du signal vidéo, qui doit être décodé par un décodeur Closed Caption dans le téléviseur. Bien que les spécifications du DVD-Vidéo ne parle que du NTSC, il n'y a pas de raison technique qui empécherait les lecteurs de DVD PAL/SECAM de sortir le signal Closed Caption au format World System Teletext (WST) ; le seul problème est qu'il faut traiter les différences de fréquences. Malheureusement, le format de stockage MPEG-2 du Closed Caption DVD est légérement différent du format ATSC. 
[3.5] Comment fonctionne le ratio («  aspect ratio ») ?
Sur un DVD, il est possible de stocker de la vidéo au format 4:3 (le ratio standard des téléviseurs) ou 16:9 (widescreen). Le format 16:9 est dit « anamorphique », c'est-à-dire que l'image est compressée horizontalement pour pouvoir tenir dans un rectangle de ratio 4:3 et anamorphosée à la lecture. 
Les lecteurs de DVD peuvent diffuser de la vidéo de quatre faηons différentes : 
•	plein écran (de la vidéo 4:3 pour un téléviseur 4:3) 
•	« letterbox » (de la vidéo 16:9 pour un  téléviseur 4:3) 
•	« pan & scan » (de la vidéo 16:9 pour un  téléviseur 4:3) 
•	« widescreen » (de la vidéo 16:9 pour un  téléviseur 16:9) 
Letterbox (que l'on rencontre sous ses abbréviations LBX ou LTBX) signifie que la vidéo est dans un format identical au format cinéma, habituellement 1.85:1 ou 2.40:1. Ceux-ci étant plus large que le rapport 4:3 des téléviseurs standards, des bandes noires doivent être ajoutées en haut et en bas de l'image. Pan & scan (recadrage) est un procédé permettant de voir une image large à travers une fenêtre 4:3, éliminant les parties à droite et à gauche (et massacrant le film NdT). Toutefois, de nombreux films sont tournés en soft-matte, utilisant le même rapport mais masquant le haut et le bas lors de la projection en salle. Lors du transfert vidéo, l'image supplémentaire peut être inclut durant le processus de recadrage (et massacrant le film NdT).
La vidéo enregistrée au format 4:3 ne subit pas de changement de la part du lecteur et sera affichée normalement sur un téléviseur 4:3. Les appareils widescreen 16:9 devront soit l'agrandir, soit lui ajouter des bandes noires à droite et à gauche. La vidéo 4:3 peut avoir été formatée de diverses manières avant d'avoir été transférée sur DVD. Par exemple, elle peut être au format « letterbox » pour préserver l'intégralité d'une image large, ou au format recadré (« panned & scanned ») qui élimine les bords droits et gauches d'une image d'un ratio plus grand. Tout le travail de formatage effectué sur la vidéo avant le stockage sur DVD est transparent au lecteur, qui se contente de reproduire le signal. 
La vidéo « anamorphosée » 16:9 peut être affichée sur un équipement 16:9, qui redonne à l'image les bonnes proportions. Sur un téléviseur standard 4:3, cette même image apparaît étirée verticalement. Une alternative : nombre de nouvelles TV standard en Europe peuvent réduire la zone de balayage vertical afin de restaurer les bonnes proportions sans perte de résolution (un signal est envoyé la pin 8 du SCART). Si la vidéo anamorphosé est affiché sur un téléviseur standard 4:3, les personnages apparaissent étiré comme sous l'emprise d'un régime sévère.Le mode widescreen 16:9 est compliqué car, de nos jours, la plupart des films sont tournés avec un « soft matte ». (Le chef opérateur a deux types de marques sur son viewfinder, un pour le format 1.33 (4:3) et un pour le format 1.85, pour s'accommoder des deux ratios). Certains films sont encore plus larges, comme le ratio 2.35 du Panavision. La plupart des films étant plus larges que 1.78 (16:9), une de ces quatre méthodes doit être utilisée lors du transfert pour arriver au 1.78  : 1) ajouter de fines bandes noires en haut et en bas de l'image ; 2) inclure une petite surface supplémentaire de l'image en haut et en bas à partir de la zone « soft matte » ; 3) éliminer les cτtés ; 4) déplacer une «  fenêtre » au format 1.78 suivant l'endroit où l'action se situe dans l'image. Avec les deux premières méthodes, la différence entre 1:85 et 1:78 est si petite que les bandes noires ou l'image supplémentaire est dissimulée par la zone de balayage invisible de la plupart des téléviseurs. 
Néanmoins, et surtout pour les films en 2.35, de nombreux éditeurs de DVD incluent une version 16:9 sur une face (ou une couche) du disque et une version 4:3 sur l'autre. De cette manière, la version plein écran du film peut servir pour un « balayage » (pan & scan) ou un zoom sans bandes noires et sans perte de résolution. 
Le site de Laserviews contient une liste de titres DVD "anamorphosé". 
La vidéo « anamorphosée » 16:9 peut aussi être convertie par le lecteur pour un affichage sur un téléviseur standard 4:3 en « letterbox » ou en recadrée. Les possibilités de conversions disponibles sur le disque sont à la discrétion de l'éditeur. Jusqu'ici aucun disque n'a été pressé avec une option de formatage automatique (en partie car les équipements pour stocker les informations nécessaires au « balayage » ne sont pas largement diffusés). 
Pour le mode letterbox automatique, le lecteur crée des bandes noires en haut et en bas de l'image (60 lignes pour le NTSC et 72 pour le PAL). Cela laisse 3/4 de la hauteur, créant aussi une zone moins haute mais plus large. Pour remplir cette zone, l'image est compressée verticalement avec un filtre letterbox qui combine 4 lignes en 3. Cela compense la compression verticale initiale, et permet de voir le film dans son vrai format. La résolution verticale passe de 480 lignes à 360. 
Pour le mode « pan & scan » automatique, la vidéo est décompressée en 16:9 et une partie de l'image est affichée dans toute la hauteur du cadre 4:3 en «  balayant » l'image d'après les informations incluent dans le flux vidéo et décrivant la « zone de l'image où se déroule l'action » (ces informations ont été définies par les superviseurs du transfert du film en vidéo). La « fenêtre » de « pan & scan » représente 75% de la largeur initiale de l'image, ce qui réduit le nombre de pixels horizontaux de 720 à 540. La « fenêtre » de « pan & scan » ne peut se déplacer que latéralement. Ce procédé est différent d'un vrai « pan & scan  » où la fenêtre se déplace de haut en bas et qui peut aussi zoomer. En conséquence, la plupart des éditeurs préfèrent inclure une version « pan & scan » sur le disque en plus de la version widescreen. Pour cette raison, et parce que l'équipement pour stocker l'information n'est pas larrgement disponible, aucun film n'a été diffusé avec le mode « pan & scan » automatique activée, bien que certains disques utilisent le « pan & scan » par un choix dans le menu afin que le même menu fonctionne en mode anamorphosé et 4:3. 
L'étape d'anamorphose ne génère pas de problèmes avec les doubleurs de lignes, qui se contentent de doubler les lignes avant la décompression par l'équipement widescreen 16:9. 
Pour la vidéo anamorphosé, les pixels sont plus larges. Plusieurs ratios de pixel sont utilisés pour chaque format et résolution. Les taille de 720-pixels et 704-pixels ont le même ratio car le premier inclu "l'overscan". Noter que les valeurs "conventionnelles" 1.0950 et 0.9157 sont données pour la hauteur et la largeur (et sont optimisées pour correspondre aux frequences de balayage). Le tableau suivant présentent des valeurs hauteur/largeur moins perturbant (y/x * h/w). 
  720x480 720x576
 704x480 704x576 352x480 352x576
4:3 0.909 1.091 1.818 2.182
16:9 1.212 1.455 2.424 2.909
La lecture de programme widescreen peut être limitée. Les programmes peuvent être destinés aux modes d'affichages suivants : 
- 4:3 plein écran 
- 4:3 LB (pour sélectionner le mode letterbox sur les téléviseurs widescreen) 
- 16:9 LB seulement (le lecteur ne peut effectuer de «  pan & scan » sur les téléviseurs 4:3) 
- 16:9 PS seulement (le lecteur ne peut effectuer de letterbox on 4:3 TV) 
- 16:9 LB ou PS ( « pan & scan » ou letterbox sur les téléviseurs 4:3) 
[3.6] Quelles sont les caractéristiques audio ?
Il y a deux versions grand public du DVD : DVD-Video et DVD-Audio. Tous deux supportent le son multi-canal haute définition. Le DVD-Audio supporte le PCM haute qualité. 
[3.6.1] Caractèristiques du DVD-Audio 
Le LPCM est obligatoire, avec jusqu'à 6 canaux avec une échantillonnage de 48, 96 ou 192 kHz (ainsi que 44,1/88,2/176,4 kHz) et une profondeur de codage de 16/20/24 bits. Cela permet théoriquement une réponse en fréquence allant jsuqu' 96 kHz et une dynamique jusqu'à 144 dB. LPCM Multicanal sera "downmixé" par le lecteur, bien qu'à 192 et 176.6 kHz, seulement deux canaux seront disponible. Le débit maximal est 9.6 Mbps. 
Le WG4 a décidé d'inclure une compression sans perte (ce n'est pas trop tτt !) et le 5 août 1998 a choisit le MLP (Meridian Lossless Packing) de Meridian, déjà sous licence pour Dolby. MLP retire la redondance du signal pour obtenir un ratio de compression d'environn 2:1 tout en permettant au signal PCM d'être complètement recéé par le décodeur MLP (requis dans tous les lecteurs DVD-Audio). MLP permettra des durées d'écoute d'environ 75 à 135 minutes de son 6 canaux à 96kHz/24 bit sur une couche (comparé au 45 minutes sans "packing"). Les durées d'écoutes deux canaux à 192 kHz/24 bit seront d'environ 120 à 140 minutes (67minutes sans "packing"). 
Les autres formats du DVD-Video (Dolby Digital, MPEG et DTS décris plus bas) sont optionnels sur les DVD-Audio, bien que le Dolby Digital soit requis pour le contenu audio des segments vidéo associés. Quelques unes des fonctionnalités du DVD-Vidéo (excluant les angles, le montage etc.)est inclut dans le DVD-Audio. On s'attend à ce que peu de temps après l'apparition des lecteurs de DVD-Audio, de nouveaux lecteurs de DVD-Video soient disponibles et compatibles avec toutes les caractèristiques du DVD-Audio. 
Le DVD-Audio inclus des fonctionnalités spécialisées de downmixing. Contrairement au DVD-Vidéo, où le décodeur contrτle le mixage de 6 canaux à 2, le DVD-Audio inclus des tables de coefficient pour contrτler le "mixdown". Jusqu'à 16 tables peuvent définies par chaque Audio Title Set (album), et chaque piste peut être identifié par une table. Les coéfficients sont compris entre 0dB et 60db. Cette fonctionnalité s'appelle SMART (system-managed audio resource technique). 
Le DVD-Audio permet jusqu'à 16 images fixes par piste, avec un ensemble de transitions. L'affichage sur écran peut servir à synchroniser les paroles de chanson et les menus de navigation. Un mode de navigation simplifié peut être utilisé sur les lecteurs sans affichage vidéo. 
Sony et Philips proposent le SACD, un format concurrent basé sur le Direct Stream Digital (DSD) avec des fréquences d'échatillonages allant jusqu'à 100 kHz. Le DSD est basé sur le "pulse-density modulation" (PDM) qui utilise des bits uniques pour représenter les variations du signal audio. Cela permettrait d'améliorer la qualité en retirant les filtres "brick wall" requis pour l'encodage PCM. Cela permet un downsampling plus précis et efficace. Le DSD fournit une réponse en fréquence du DC à plus de 100 kHz avec une dynamique de plus de 120 dB. Le DSD inclus une technique d'encodage sans perte produisant appoximativement une réduction d'environ 2:1 en anticipant les échantillons. Le débit maximum est de 2.8 Mbps. 
Le SACD inclus le watermarking physique. PSP (Pit signal processing) module la largeur des pits sur le disque afin de stocker un watermark numérique ( les données sont stockées sur la longueur du pit).Le pickup optique doit comporter un cricuit supplémentaire pour lire le watermark PSP, qui est alors comparé à l'information sur le disque et s'assurer que le disque est légal. Du fait des nouveaux circuits requis, le SACD ne pourra être lu sur des lecteurs DVD-ROM.  
Le SACD inclus des textes et des images fixes, mais pas de vidéo. 
[3.6.2] Caractèristiques audio du DVD-Video 
Les informations suivantes concernent les pistes sonores du DVD-Vidéo. Certains constructeurs de DVD ,comme Pioneer, développent des lecteurs audio basés sur les spécifications du DVD-Vidéo. 
Un DVD peut avoir jusqu'à 8 pistes audio. Chaque piste peut être de l'un de ces trois formats : 
•	Dolby Digital (anciennement appelé AC-3) : 1 à 5.1 canaux 
•	MPEG-2 audio : 1 à 5.1 ou 7.1 canaux 
•	PCM : 1 à 8 canaux. 
Deux autres formats optionnels sont possibles : DTS et SDDS. Tous deux nécessitent des décodeurs externes et ne sont pas compatibles avec tous les lecteurs. 
Le « .1 » fait référence au canal basses fréquences (Low Frequency Effects LFE) qui se branche à un caisson de basses. 
Linear PCM est un format sonore numérique non compressé (sans perte), c'est le format des CD et de la plupart des masters de studios. Il peut être échantillonné sur 49 ou 96 kHz avec des échantillons codés sur 16, 20, ou 24 bits. (Le CD Audio est limité à 44.1 kHz sur 16 bits.) Il peut y avoir de 1 à 8 canaux. Le débit maximum est 6.144 Mbps, ce qui limite la fréquence d'échantillonnage et la profondeur de codage avec 5 canaux ou plus. Il est généralement constaté que la dynamique de 96 dB du 16 bits, ou même les120 dB du 20 bits (en plus d'une «  frequency response » allant jusqu'à 22 000 Hz à partir d'un échantillonnage de 48 kHz,) est adaptés pour une reproduction Haute Fidélité. Toutefois, davantage de profondeur dans le codage et une fréquence d'échantillonnage plus grande sont utiles pour le travail en studio ainsi que pour des traitements numériques poussés ou pour une reproduction spatiale du son. Les lecteurs de DVD doivent être compatibles avec toutes les variations du LPCM, mais certains pourraient passer de 96 kHz à 48 kHz, et certains n'utiliseraient pas la totalité des 20 ou des 24 bits. Le signal fournit sur la sortie numérique destinée à un convertisseur numérique-analogique pourrait être limité à moins de 96 kHz ou moins de 24 bits. 
Dolby Digital est un format sonore numérique et mutli-canal, comprimé, avec la technologie de codage AC-3, à partir du PCM avec une fréquence de 48 kHz sur 16 bits. Le débit est de 64 kbps à 448 kbps, avec 384 kbps étant le débit normal des 5.1 canaux et 192 kbps étant le débit normal de la stéréo (avec ou sans codage surround). Les combinaisons de canaux sont (front/surround)  : 1/0, 1+1/0 (dual mono), 2/0, 3/0, 2/1, 3/1, 2/2, et 3/2. Le canal LFE est optionnel avec tous ces combinaisons. Dolby Digital est le format utilisé sur la majorité des DVD (en Zone 1). 
MPEG audio est un format sonore numérique et multi-canal, comprimé à partir du PCM avec une fréquence de 48 kHz sur 16 bits. Le DVD supporte le MPEG-1 et le MPEG-2. Le débit variable est compris entre 32 à 912 kbps, 384 kbps étant le débit moyen. Le MPEG-1 est limité à 384 kbps. Les combinaisons de canaux sont (front/surround)  : 1/0, 2/0, 2/1, 2/2, 3/1, 3/2 et 5/2. Le canal LFE est optionnel. Le 7.1 ajoute les canaux central-gauche et central-droit, mais peu de système exploiteront tous les canaux. Le MPEG Layer III (MP3) et le MPEG-2 AAC (aussi appelé NBC et « unmatrix ») ne sont pas supportés par le standard DVD-Vidéo. 
DTS (Digital Theater Sound) est un format sonore (optionnel) numérique et multi-canal (5.1) , comprimé à partir du PCM avec une fréquence de 48 kHz et en 20 bits. Le débit est de 64 à 1536 kbps (bien que le DTS Coherent Acoustics puisse aller jusqu'à 4096 kbps pour une compression sans perte). Les combinaisons de canaux sont (front/surround) : 1/0, 2/0,3/0, 2/1, 2/2, 3/2. Le canal LFE est optionnel. Le standard DVD inclut un format de flux audio réservé au DTS, mais les lecteurs de premières générations ne le reconnaissent pas. D'après DTS, les décodeurs DTS fonctionneront avec les DVD DTS. Rem : Tous les lecteurs de DVD peuvent lire les CD DTS.
SDDS (Sony Dynamic Digital Sound) est un format sonore numérique et multi-canal (5.1 à 7.1), comprimé à partir du PCM à 48 kHz. Le débit peut atteindre 1280 kbps. SDDS est un format sonore pour une dissusion en salle basé sur le format de compression ATRAC qui est aussi utilisé par le Minidisc. Sony n'a pas encore annoncé son intention de mettre en oeuvre le SDDS sur le DVD. 
THX (Tomlinson Holman Experiment) n'est pas un format sonore. C'est tout simplement un ensemble de traitement appliqué par les amplificateurs certifiés THX. Le traitement « THX 4.0 » est ajouté au Dolby Pro Logic. Le traitement « THX 5.1 » est ajouté au Dolby Digital. 
Les DVD en 525/60 (NTSC) doivent avoir un flux PCM ou un flux Dolby Digital, sur au moins une piste. Les DVD en 625/50 (PAL) doivent avoir un flux PCM ou un flux MPEG-2 ou un flux Dolby Digital sur au moins une piste. Les pistes supplémentaires peuvent être de n'importe quel format. Certains lecteurs de première génération, comme ceux de Matsushita, ne peuvent transmettre le flux MPEG-2 au décodeur externe. 
La première version des spécifications imposait soit un flux MPEG, soit un flux PCM sur les DVD en 625/50 (PAL). Une brève controverse menée par Philips éclata lors de l'édition des premiers DVD contenant du MPEG 2 canaux et du Dolby Digital multi-canal, mais le Forum DVD a clarifié la situation en annonηant en mai 1997 que seul le MPEG stéréo était obligatoire sur les DVD 625/50. En décembre 1997, l'absence de décodeurs (et d'encodeurs) était suffisamment inquiétante pour que les spécifications soient revues afin de permettre l'usage du Dolby Digital comme piste audio unique sur les DVD 625/50. 
Pour la sortie stéréo (analogique ou numérique), tous les lecteurs sont munis d'un décodeur Dolby Digital 2 canaux qui « downmixent » les 5.1 canaux (s'ils se trouvent sur le DVD) en Dolby Surround (i.e., les 5 canaux sont matricés en 2 canaux qui seront décodés en 4 par un processeur Dolby Pro Logic externe). Les lecteurs PAL ont, de plus, un décodeur MPEG ou MPEG-2. Les formats Dolby Digital et MPEG-2 supportent une source  Dolby Surround 2 canaux, au cas où l'éditeur ne peux pas (ou ne veux pas) remixer le signal en canaux discrets. Cela veut dire que les DVD marqués comme présentant un son Dolby Digital pourrait n'utiliser que les canaux Droit/Gauche pour le surround ou la stéréo. Même les films avec des bandes sonores mono peuvent être en Dolby Digital -- mais en un ou 2 canaux. Les lecteurs Sony peuvent effectuer le « downmix » en stéréo non-surround. 
Le traitement « downmix » du Dolby Digital n'inclut (habituellement) pas le canal LFE et peut réduire la dynamique pour améliorer l'écoute des dialogues et empêcher le son de devenir « brumeux » sur les systèmes audio « moyens ». Cela peut entraîner une perte de la qualité d'écoute sur des systèmes de haute qualité. Certains lecteurs ont la possibilité de désactiver la réduction de la dynamique. Le « downmix » est testé lors de la préparation du DVD, et si le résultat est inacceptable, le son peut subir alors un traitement ou une piste Droite/Gauche Dolby Surround peut être incluse. L'expérience a montré que des réglages mineurs sont parfois nécessaire, pour permettre des dialogues audibles sur des systèmes surround de moyenne qualité qui ont une dynamique limitée, mais qu'une piste supplémentaire n'est habituellement pas nécessaire. Si le son surround est essentiel pour vous et si vous êtes équipés d'un système Dolby Digital, vous obtiendrez un bien meilleur résultat avec des DVD incluant un son multi-canal. 
Les cinq formats audio supportent le mode karaoké, qui dispose de deux canaux pour la stéréo (L et R) en plus d'un canal optionnel de contrτle mélodique (M) et canal vocal optionnel (V1 et V2). 
Un DVD-5 avec un flux stéréo surround (à 192 kbps) peut contenir 55 heures de son. Un DVD-18 peut contenir plus de 200 heures. 
De nombreuses personnes se plaignent du niveau trop bas du son sur un DVD. En réalité, c'est le son inclus sur les autres supports qui est trop fort. Les pistes des films sont très dynamiques, d'un quasi-silence à d'intenses explosions. Dans le but de permettre une dynamique plus large et des pointes (près de la limite de 2V RMS) sans distorsion, le niveau moyen du son doit être plus bas. C'est pourquoi le niveau est plus bas que les autres sources. Et jusqu'ici, et contrairement au CD et au laserdisc, le niveau est beaucoup plus cohérent entre les différentes éditions DVD. 
[3.7] Comment fonctionnent les options interactives ?
Les lecteurs de DVD (et les navigateurs logiciels de DVD-Vidéo) savent interpréter un certain nombre de commandes, permettant une certaine interactivité. Des menus, présents sur presque tous les disques, permettent de sélectionner les programmes et de contrτler les options. Chaque menu se présente comme une image fixe et peut comporter jusqu'à 36 « boutons » que l'on peut sélectionner (seulement 12 si on utilise les modes « pan & scan », widescreen, et letterbox). Les télécommandes sont munies de quatre flèches pour parcourir les menus, ainsi qu'un clavier numérique, une touche de sélection, une touche menu, une touche sous-titre, une touche angle de vue, une touche de sélection de mode de lecture, une touche de recherche de programme et une touche de recherche de chapitre (ou d'après un « time-code »). Chacune de ces options peut être désactivée par l'éditeur du DVD. 
D'autres commandes sont possibles, comme des opérations mathématiques simples (ajouter, soustraire, multiplier, diviser, moduler, sélection aléatoire), un ET, OU et XOR logiques, ainsi que des comparaisons (égal, plus grand que, etc.) et des opérations sur des registres. Il y a 24 registres systèmes pour des valeurs concernant le code de langue, le son, les « subpictures » et le niveau parental. Il y a 16 registres que les commandes peuvent utiliser. Un « timer » est aussi utilisable. Les commandes peuvent aussi contrτler les paramètres du lecteur, positionner la lecture sur différentes parties du disque ainsi que le son, la vidéo, le subpicture ou le multi-angle, etc. 
Le DVD-Vidéo est divisé en titres (films ou albums), et « parties de titres » (chapitres ou chansons). Les titres sont constitués de « cellules » liées entre elles par un ou plusieurs enchaînement de programmes (PGC), qui indique l'ordre de lecture des cellules : en séquence, aléatoire, etc. Des cellules peuvent être utilisées dans plusieurs PGC, ce qui permet l'usage du contrτle parental et de l'option de scénario multiple. 
Le signal vidéo nécessaire au multi-angle et au scénario multiple est intercalée en petites sections. Le lecteur lit le disque et passe les parties non utilisées, permettant un montage transparent. Les prises de vue d'angle différent étant stocker séparément, elles n'ont pas d'influence sur le débit mais divise par deux la durée possible du programme. L'ajout d'un angle de vue supplémentaire à un programme entraîne le doublement d'espace nécessaire (et divise par deux le temps de lecture). 
  
 
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[4] Le DVD et les ordinateurs
[4.1] Peut-on visionner un DVD-Vidéo sur un ordinateur ?Only if your computer has the right stuff. In addition to a DVD-ROM drive you must have extra hardware to decode
Oui, mais seulement si l'ordinateur dispose de l'équipement nécessaire. Le système d'exploitation ou le logiciel de décodage doit supporter les codes régionaux et décrypter les films protégés contre la copie. Si l'ordianateur dispose d'une sortie vidéo TV, il doit supporter la Macrovision afin de llire les films protégés. Il peut être nécessaire de disposer d'un logiciel capable de lire le système de fichier MicroUDF utilisé par le DVD. En plus d'un lecteur de DVD-ROM, il faut une carte supplémentaire pour décoder la vidéo MPEG-2 et le son Dolby Digital/MPEG-2/PCM ou si votre ordinateur est assez puissant pour faire le décodage par logiciel (266 MHz Pentium II ou Mac G3). On estime que 10 à 30% des nouveaux ordinateurs mis sur le marché incorporeront le matériel de décodage, et que la plupart des autres disposeront du logiciel adéquat. Des kits d'upgrade matériel s'achète pour le parc existant (habituellement pentium 133MHz) à partir de 150$.
Certaines tâches de décodage MPEG comme la "motion compensation" et l'IDCT peut être effectué par un circuit additionnel sur la carte vidéo, améliorant ainsi les performances du décodage logiciel. Cela est appellé accélération matériel du décodage ou "motion comp" matériel. 
Microsoft Windows 98 înclut DirectShow 5.2, qui fournit en standard un support du DVD-Vidéo et de la lecture MPEG-2. (DirectShow peut être installé sur Windows 95.) DirectShow 6.0 est disponible en téléchargement. DirectShow fournit un cadre standardisé pour ce qui est de la lecture des DVD, mais un ajout de décodeur matériel ou logiciel est requis. Windows NT 4.0 ne supporte pas très bien le DVD-Vidéo mais Windows 2000 utilisera les mêmes drivers WDM et DirectShow que Windows 98. Internet Explorer 5.0 contient une nouvelle version du Windows Media Player qui permet la lecture DVD par script dans une page HTML. Windows 98 et ulterieur peuvent lire les disques UDF. Adaptec fournit un pilote gratuit pour la la lesture du système de fichier, UDF Reader, pour Windows 95/98/NT. Software Architects vend Read DVD pour Windows 95. 
Apple QuickTime 3.0 est en partie prêt pour le DVD-Vidéo et le MPEG-2 mais ne dispose pas de tous le support de décodage et de lecture des DVD-Vidéo. Mac OS 8.1 ou ultérieur peuvent lire les disques UDF. Adaptec fournit un utilitaire gratuit, UDF Volume Access, qui permet à Mac OS 7.6 et ultérieur la lecture des disques UDF. Software Architects vend un logiciel de lecture de disques UDF pour Mac OS, appelé DVD-RAM TuneUp. 
Note : L'Extension QuickTime pour MacOS est valable pour le MPEG-1 uniquement et ne peut lire le MPEG-2 du DVD-Vidéo 
Certains DVD-ROM et quelques DVD-Vidéo utilisent de la vidéo encodée au format MPEG-1 au lieu du MPEG-2. La plupart des ordianateurs récents disposent du matériel MPEG-1 intégré ou sont capable de décoder le MPEG-1 par logiciel. 
Les programmes de lecture DVD (utilisant un décodage logiciel ou matériel) sont des lecteurs de DVD virtuels. Ils supportent la plupart des caractèristiques du DVD-Vidéo (menus, sous-titre,...) et émule les fonctionnalités d'une télécommande. Plusieurs de ces solutions comporte des fonctionnalités additionnelles comme les bookmarks, les listes de chapitres et de sous-titre. 
Les décodeurs et lecteurs DVD logiciels Microsoft Windows sont conηus par CyberLink (PowerDVD), InterVideo, Mediamatics (DVD Express), MGI, NEC, Odyssey, QI (Software CineMaster), Xing, Zoran (SoftDVD), entre autres. Seuls les décodeurs de CyberLink, Odyssey, et Xing sont disponibles à l'achat, les autres sont attachés à des PC DVD OEM. Une version bon marché du logiciel de QI est disponible en téléchargement sur le site web d'ATI pour les cartes vidéos d'ATI. CyberLink, InterVideo, et Odyssey ne supporte pas encore DirectShow. Les décodeurs logiciels nécessitent au minimum un Pentium 233MHz MMX et un DVD-ROM IDE/SCSI avec un bus DMA, afin d'atteindre les 24 images par seconde (ou plus de 350 MHz pour obtenir 30 images par seconde). Une carte vidéo AGP et une accélération matériel améliore la performance des décodeurs logiciels. 
Les cartes de décodages matériels et les kits d'upgrades DVD-ROM pour Microsoft Windows sont conηus par Creative Technology (Encore, C-Cube chip), E4 (Elecede) (Cool DVD, C-Cube chip), IBM (ThinkPad laptops, IBM chip), LeadTek (WinFast 3D S800, Mpact2 chip), Margi (DVD-to-Go, ZV PC card for laptops), QI (Hardware Cinemaster, C-Cube chip), Sigma Designs (Hollywood, Sigma chip), STB (DVD Theater, Mpact2 chip), Toshiba (Tecra laptops, Toshiba chip), entre autres. La carte de décodage Sigma Designs est utilisé par les décodeurs d'Hitachi, HiVal, Panasonic, Phillips, Sony, et Toshiba. L'avantage des décodeurs matériels est qu'ils n'accapare pas le processeur, et qu'ils offrent souvent une qualité vidéo meilleure que les décodeurs logiciels. 
Certains modèles Macintosh PowerBook et G3 peuvent s'acheter avec des unités DVD-ROM et des décodeurs matériels. Les kits d'upgrades et les cartes de décodage pour Macintosh sont conηus par E4 (Elecede) (Cool DVD, C-Cube chip) et Wired (MasonX ; DVD-To-Go, qui n'est plus fabriqués). 
Si vous disposez au minimum d'une station de travail Alpha à 433 MHz, il est possible de lire les DVD-Vidéo à 30 images par seconde par logiciel. 
Malheureusement, même si les ordinateurs ont le potentiel de produire une vidéo supérieure au lecteurs de DVD-Vidéo grâce au balayage progressif et de plus grandes fréquences d'affichage, les systèmes actuels sont moins bon qu'un lecteur de salon branché sur un téléviseur. 
Si vous souhaitez brancher votre ordinateur DVD à un téléviseur, la carte de décodage ou la carte VGA doit disposer d'une sortie TV (vidéo composite ou s-video). Une alternative est de connecter un convertisseur 
à la sortie VGA. La qualité de la vidéo dépendra du décodeur, de la puce d'encodage TV, et d'autres élément, mais sera habituellement un peu inférieure à celle offerte par un bon lecteur DVD de salon. 
[4.2] Quelles sont les caractéristiques et les vitesses des lecteurs de DVD-ROM ?
Contrairement aux lecteurs de CDROM, auquels il a fallut des années pour passer à 2x, 3x et davantage encore, des unités DVD-ROM plus rapides ont commencé à apparaître dès la première année. La plupart des DVD-ROM ont un temps de recherche de 90-200 ms, un temps d'accès de 100-250 ms. Les unités DVD-ROM 1x offre un taux de transfert de 1,3 Mo/s (11.08*10^6/8/2^20) avec un taux de transfert « burst » pouvant atteindre (et dépasser) 12 Mo par seconde. Le taux de transfert des disques DVD-ROM en 1x est à peu près équivalent à un CD-ROM 9X (un taux de transfert d'un CD-ROM 1xest 150KB/s ou 0.146 Mo/s). La vitesse de rotation du DVD est trois fois plus importante que celle d'un CD (un DVD 1x équivaut à un CD 3x), mais presque tous les lecteurs de DVD-ROM sont capables de lire les CD-ROM à triple vitesse, la plupart seront capables d'atteindre une vitesse 12x ou plus. Les lecteurs de DVD-ROM 2x sont disponibles (avec des taux de transfert de 22.2 Mbps ou 2.6 Mo/s pour un DVD, équivalent à un CD-ROM 18x). La plupart des DVD-ROM 2x lisent les CD-ROM à 20x (au maximum). Les unités 4.8x et 5x commencent à être disponible, bien qu'ils n'atteignent pas habituellement un taux de transfert constant de 5x (55.4 Mbps ou 6.4 Mo/s, équivalent à un CD-ROM 45x). La plupart des DVD-ROM 2x lisent les CD-ROM à 20x (au moins) et la plupart des 5x lisent les CDROM à 32x (max). 
Note : Pour lire des films, un DVD-ROM rapide n'apporte rien de plus qu'un lissage plus fin et une recherche plus rapide. Des vitesses au-delà de 1x n'améliore pas la qualité vidéo des disques DVD-Vidéo. Des vitesses plus importantes ne sont sensibles que lorsque l'on accède des données informatiques comme pour un jeu vidéo ou une base de données. 
L'interface est similaire à celle des CD-ROM : EIDE (ATAPI), SCSI-2, etc. Tous les lecteurs de DVD-ROM ont les prises audio pour la lecture des CD. Aucun lecteur de DVD-ROM comportant des sorties audio et vidéo DVD (ce qui nécessiterait du matériel de décodage audio/vidéo intégré) n'a été annoncé. Pour brancher un DVD-ROM d'un PC sur votre téléviseur et sur un système stéréo, la carte de décodage ou la carte vidéo doit avoir une sortie vidéo et audio. Certaines cartes ont des sorties SP/DIF pour des amplis numérique. S'il n'y a pas de sortie vidéo, un convertisseur TV peut être branché sur la prise VGA. 
Les DVD-ROM utilisent le système de fichier MicroUDF/ISO 9660 bridge. Ce système de fichier de l'OSTA remplacera à terme celui utilisé sur les CD-ROM (ISO 9660), mais le format "bridge" fournit une compatibilité descendante jusqu'à ce que le système d'exploitation supporte l'UDF. 
[4.3] Qu'en est-il du DVD enregistrable : DVD-R, DVD-RAM et DVD+RW ?
Il y a quatre versions enregistrables du DVD-ROM : DVD-R, DVD-RAM, DVD-RW et DVD+RW. Le DVD-R ne peut enregistrer qu'une fois (séquentiellement uniquement), tandis que le DVD-RAM, le DVD-RW et le DVD+RW peut réinscrire des milliers de fois. Les versions finales des deux standards DVD-R et DVD-RAM (version 1.0) ont été publiées en août 1997 (voir 6.1). DVD-RW 1.0 et DVD-R 2.0 sont en voie d'achèvement au début 1999. Ces formats ne sont pas utilisables, pour le moment, pour l'enregistrement de programme vidéo (voir 1.14), bien que les enregistreurs DVD personnels arriveront sur le marché. Les trois formats réinscriptibles (DVD-RAM, DVD-RW et DVD+RW) sont essentiellement en concurrence l'un avec l'autre. Le marché choisira lequel s'imposera. Pour le moment , le DVD-RAM a un an d'avance. 
Chacun des formats est brièvement examiner ci-dessous. Pour davantage d'informations sur le DVD enregistrable. Si vous êtes particulièrement intéressés par le DVD enregistrable pour ce qui est des données, visitez la page de Steve Rothman DVD-DATA pour la FAQ et la mailing-list. 
DVD-R et DVD-RW
Le DVD-R utilise la technologie « dye polymer  » (comme le CD-R) et est compatible avec presque tous les lecteurs de DVD (les Sony DVP-S7000 et DVP-S3000 étant de notables exceprions). La capacité initiale est de 3.95 milliards d'octets, mais atteindra les 4.7 milliards d'octets vers le milieu de 1999, ce qui est essentiel pour graver des DVD-ROM et de DVD-Vidéo sur un ordinateur de bureau. 
Le DVD-RW (anciennement appelé le DVD-R/W, et anciennement DVD-ER) est un format réinscriptible à changement de phase qui sera disponible vers le milieu de 1999. Développé par Pioneer et basé sur le DVD-R, DVD-RW utilise une même longueur entre les pistes, une même longueur minimale des pits et des lands et un même contrτle de rotation. Il fonctionnera sur la plupart des lecteurs de DVD de premières générations. (Certains lecteurs et unités sont perturbées car ceux-ci croient avoir affaire à disque double couche alors qu'il s'agit d'une réflèctivité moindre. Une mise à jour logiciel devrait coriger le problème.) Le DVD-RW aura une capacité initiale de 4.7 milliards d'octets. 
Pioneer a sorti une unité DVD-R 1.0 à 3.95 millards d'octets en octobre 1997 (avec 6 mois de retard) au prix de 17,000$. De nouvelles unités DVD-R 2.0 à 4.7 milliards d'octets sont sorties en quantité limité en mai 1999 (avec 6 mois de retard) au prix de 5,4000$. Une version à venir de cette unité sera compatible avec le média DVD-RW. Le prix des DVD-R vierges est de 40$. Le prix des disques DVD-RW sera initiallement équivalent. Les disques vierges sont fabriqués par Eastman Kodak, Hitachi Maxell, Mitsubishi, Mitsui, Pioneer, Ricoh, TDK, et Victor. Ricoh, Yamaha, et Sony se joindront à Pioneer et fabriqueront des unités DVD-R/RW. 
Les atouts majeurs des lecteurs DVD-R, qui sont utilisés essentiellement pour tester les DVD, sont une capacité plus grande et une compatibilité avec tous les lecteurs de DVD.
Les DVD-R et DVD-RWauraient une durée de vie entre 50 et 300 ans, aussi durable que les CD-R.
Le format DVD-R est normalisé dans le document ECMA-279. 
DVD-RAM
Le DVD-RAM, avec une capacité de 2.58 milliards d'octets, utilise la technologie de changement d'état (phase-change : PD) et n'est pas compatible avec les lecteurs actuellement sur le marché (à cause de la différence de réflexion et d'autres différences de format).  Les DVD-RAM simple face pourront être disponibles avec ou sans protection (i.e. dans une cartouche ou non). Il y a deux catégories de protection : le type 1 est scellé, le type 2 permet de retirer le disque. L'écriture sur les disques ne peut se faire qu'en présence de la cartouche. Les DVD-RAM double face seront disponibles avec des protections uniquement. Les dimensions de ces protections sont 124.6mm x 135.5mm x 8.0mm. Les disques DVD-rAM vierges sont fabriqués par Hitachi Maxell, Mitsubishi, Mitsui et TDK. Plus tard, les DVD-RAM de 4,7 milliards d'octets pourraient utiliser une couche «  contrast enhancement » et une couche « thermal buffer  » afin d'obtenir une densité plus grande. Hitachi a annoncé avoir atteint les 4,7 milliards d'octets en réduisant la taille des pits et des lands de 0.41/0.43 microns à 0.28/0.30 microns et la distance entre les pistes de 0.74 microns à 0.59 microns. 
Les unités DVD-RAM sont apparues sur le marché en juin 1998 (avec 6 mois de retard) au prix compris entre 500$ et 800$, avec des disques vierges coûtant environ 30$ pour un simple face et 45$ pour un double face. Le prix des disques était à moins de 20$ en août 1998. Le premier lecteur de DVD-ROM à pouvoir lire les DVD-RAM est distribué depuis la fin 1998 par Panasonic (SR-8583, 5x DVD-ROM, 32x CD). 
Le format DVD-RAM est normalisé dans les documents  ECMA-272 et ECMA-273. 
DVD+RW
Phase-Change Rewritable, officiellement appelé +RW dans les documents de normalisation, est un format réinscriptible concurrent, annoncé par Philips, Sony, Hewlett Packard entre autres, utilisant une technologie DVD et CD-RW. DVD+RW n'est pas soutenu par le Forum DVD (bien que les compagnies derrière ce format en soient membres), mais le Forum n'a pas l'autorité pour imposer un standards. Les lecteurs +RW reconnaîtront les DVD-ROM et les CD, probablement les DVD-R et DVD-RW, mais ne seront pas compatibles avec les DVD-RAM. En raison de différence de réfléctivité, de "linking sectors" et de gestion d'erreurs, les disques DVD+RW ne peuvent ête lus par les lecteurs de DVD-Vidéo ou DVD-ROM actuels, excpté pour les tous derniers modèles de Sony et Philips. Jusqu'ici aucun des des trois plus grands constructeurs d'unités DVD-ROM (Hitachi, Matsushita et Toshiba, partisan du DVD-RAM) n'ont annoncés de projets afin de rendre leurs lecteurs compatibles avec les disques +RW. Les disques +RW, qui ont une capacité de 2,8 Go (3 milliards d'octets) utilisent une technologie à changement d'état. Le DVD+RW ne sera en production qu'en milieu de 1999 au plus tτt, et ses concepteurs prétendaient en 1997 qu'il sera destiné aux données informatiques et non à la vidéo, mais des développements récents indique qu'il s'agissait d'un écran de fumée destiné à apaiser le Forum DVD et la concurrence. Les lecteurs de seconde génération +RW, prévus pour la mi-2000, permettront 4.7 milliards d'octets et pourront graver des CD-R et des CD-RW.
Le format DVD+RW est normalisé dans le document ECMA-274. 
Autres
D'autres concurrents potentiels au DVD-RAM : ASMO (anciennement MO7) qui a une capacité de 5 à 6 milliards d'octets et le MMVF (Multimedia Video Format) de NEC avec une capacité de 5,2 milliards d'octets et vise le grand publique. Les deux formats devraient lire les DVD-ROM (et les DVD-R) mais pas les DVD-RAM ou les DVD+RW de première génération. MMVF est similaire au DVD-RW et DVD+RW, utilisant deux substrats de 0.6 mm à changement de phase, l'enregistrement "land" et "groove" et un laser à 640 nm. 
  
[4.4] Pourquoi ne puis-je pas faire de capture d'écran d'un DVD-Vidéo ? Je n'obtiens que des écrans roses ou noirs.
La plupart des lecteurs de DVD sur PC, y compris ceux avec des décodeurs logiciels, utilise un "overlay" vidéo matériel pour insérer la vidéo directement dans le signal VGA. C'est un moyen effcace pour traiter la bande passante très importante de la vidéo. Certains systèmes, comme le décodeur Encore Dxr de Creative Labs, utilisent un cable "pass through" qui superpose la vidéo sur le signal analogique VGA une fois sorti de la carte vidéo. La superposition vidéo ("video overlay") utilise une technique appellée "colorkey" pour remplacer de manière sélective la couleur d'un pixel (souvent le magenta ou le noir) avec de la vidéo. A chaque apparition d'un pixel "colorkey" dans la vidéo du sytème, il est remplacé par de la vidéo du décodeur DVD. Ce processus se produit en aval de la mémoire vidéo de l'ordinateur, donc si vous faîtes une capture (qui sélectionne des picels de la RAM vidéo), tous ce que vous n'obtenez que des carrés remplis de la couleur "colorkey".
  
 
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[5] La fabrication du DVD
Le processus de production de DVD a deux phases : le développement et le pressage. La phase de développement diffère suivant qu'il s'agit de DVD-ROM ou de DVD-Vidéo. Le pressage est essentiellement identique dans les deux cas. 
Les DVD-ROM peuvent être développés avec des logiciels multimédias classiques comme Macromedia Director, Asymetrix Toolbook, HyperCard, Quark mTropolis, et en C++. Les disques, y compris les DVD-R de test, peuvent être produits avec des logiciels de formattage UDF. (voir 5.3). Les DVD-ROM qui tirent partie de la vidéo MPEG-2 du DVD-Vidéo et du son multi-canal Dolby Digital ou MPEG-2 nécessiteront une étape d'encodage audio/vidéo. 
Le développement des DVD-Vidéo se fait en trois étapes  : encodage, authoring (design et émulation) et prémastering (formatage de l'image disque). L'ensemble de ces étapes est souvent résumé par le terme d'authoring. Le développement est facturé par de nombreuses sociétés (voir 5.5). Si vous prévoyez de produire de nombreux titres en DVD-Vidéo (ou vous souhaitez mettre en place une société offrant ces services), vous voudrez sans doute investir dans des systèmes d'authoring et d'encodage (voir 5.4). 
Le pressage (et le mastering) est habituellement une tâche distincte effectué par de grandes sociétés qui pressent aussi des CD (voir 5.5). Le matériel nécessaire au pressage de DVD coûtent généralement des millions de dollars. La plupart des usines de pressage fournissent les services « one-off » ou «  check disc », qui permettent le pressage de un à cent disques pour les tests, au préalable du pressage en grande quantité. Contrairement au DVD-ROM, le mastering du DVD-Vidéo peut comporter une étape supplémentaire pour encryptage CSS, Macrovision et la régionalisation. 
  
[5.1] Combien coûte la fabrication d'un DVD ? Le DVD est-il beaucoup plus cher que la VHS, le laserdisc ou le CD-ROM ?
La VHS, le laserdisc et le CD-ROM ne peuvent pas être comparés au DVD de manière simple. Il y a trois niveaux de coûts : la production, le prémastering (authoring, encodage et formatage de l'image disque), et le mastering/pressage. 
Les coûts de production du DVD ne sont pas plus importants que ceux d'autres formats, à moins que les fonctionnalités supplémentaires du DVD-Vidéo (multiple piste audio, multiple angle de vue, etc.) ne soient envisagées. 
Les coûts de prémastering sont proportionnellement  les plus importants du DVD. La vidéo et le son doivent être encodés, les menus et les informations de gestions doivent être conηus (authored) et encodés, le tout doit être multiplexé en un flux de données, et finalement encodé au format de bas niveau. Warner facture la compression d'une minute de vidéo 120$, une minute de son : 20$, une minute de sous-titre : 6$, le formatage et l'émulation : 30$ la minute. La production d'un DVD de deux heures coûtent approximativement 30 000$. Si vous souhaitez effectuer vous-même le prémastering, des systèmes d'authoring et d'encodage peuvent s'acheter entre 100 000$ et plus de deux millions de dollars. Ces prix devraient beaucoup baisser dans les prochaines années et permettre la production de DVD sur des ordinateurs de bureau équipé de matériel additionnel coûtant moins de 20 000$. 
La VHS n'a pas vraiment de coût de mastering, le coût de pressage étant de 2,4$. Les CD ont un coût de mastering de 1000$ et un coût de pressage de 0,5$. Le coût de mastering du laserdisc est de 3000$ et le coût de pressage est de 8$. En juillet 1998, les DVD coûtent 2000 $ à mastériser et 1,70 $ pour le pressage.La production du DVD étant basée pour beaucoup sur les mêmes équipements que ceux utilisés pour la production des CD, les coûts de mastering et de pressage devraient rapidement baisser jusqu'au niveau du CD. Le coût de prémastering sont largement dus aux prix des systèmes "d'authoring" et d'encodage qui atteignent des centaines de milliers de dollars, mais devraient baisser rapidement dans les prochaines années. 
Le pressage des DVD double face ou double couche coûte un peu plus chère, il suffit de « stamper » les données sur le second substrat (et d'utiliser de la colle transparente pour les DVD double couche). Les DVD double face/couche sont plus compliqués à produire. 
  
 [5.2] Quels sont les produits de formatages DVD-ROM disponibles ?
•	SmartDVD Maker from Smart Storage. DVD formatting software for Windows NT. Writes to DVD-R and tape. Can create DVD-Video discs from VOB and IFO files. $2500. 
•	Toast DVD from Adaptec. DVD formatting software for Mac OS. Writes to DVD-R and tape. Can create DVD-Video discs from VOB and IFO files. $200 
•	WriteDVD, WriteUDF, and Gear DVD from Software Architects. DVD formatting software for Mac OS and Windows. Writes to DVD-R and DVD-RAM. 
•	DVD Rep from Prassi. DVD formatting software for Windows. Writes to DVD-R, DVD-RAM, and tape. 
 
Caractèristiques à rechercher pour un produits de formatage DVD : 
  
•	Support du système de fichier UDF, inclus MicroUDF pour les zones du DVD-Video et du DVD-Audio. 
•	Support du format UDF bridge, qui stocke à la fois les systèmes de fichiers UDF et ISO-9660 sur le disque. 
•	Capacité à reconnaître les répertoires VIDEO_TS et AUDIO_TS et à les placer physiquement au début du disque pour la compatibilité avec les lecteurs de DVD-Vidéo. Placement des entrèes de répertoire dans le premierdescripteur de fichier UDF est aussi requis pour la compatibilité avec certains lecteurs grand public défectueux. 
•	Support des nom de fichiers longs de Windows (format Joliet recommendé). 
•	Equivalence complète des noms de fichiers entre UDF et Joliet (ISO-9660). (Windows NT 4.0 et Windows 98 lisent les noms de fichiers Joliet ; Mac OS 8.1+, Windows 98, et Windows 2000 lisent les noms de fichiers UDF. MS-DOS et Windows 95 et antérieur lisent les noms de fichiers ISO-9660. Mac OS 8.0 et antérieur lisent les noms de fichiers HFS ou ISO-9660.) 
•	Diminution et traduction convenable des noms de fichiers ISO-9660 au format 8.3 pour les disques destinés à MS-DOS et à certains autres systèmes d'exploitation. 
•	Support de l'information de fichier de Mac OS dans le système de fichier UDF (pour l'utilisation avec Mac OS 8.1 et ultérieur). 
•	Support pour le système de fichier HFS de Mac OS si les icτnes et d'autres informations de fichiers sont nécessaires pour Mac OS antérieur à la version 8.1. 
[5.3] Quels sont les produits d'encodage audio et vidéo disponibles ?
•	Video
o	Digital Vision 
?	BitPack. MPEG-2 video encoding workstation. Extendable to HDTV. 
?	DVNR system for video pre-processing. 
o	FAST Multimedia 
?	601. MPEG-2 non-linear editing system with "print to DVD" option to output MPEG-2 ES or PS. 
o	Gunzameory 
?	MPEGRich. Professional MPEG-2 real-time encoding hardware. CBR and VBR. Windows NT. 
o	Ligos 
?	LSX-MPEG Encoder. MPEG-2 video encoding software. CBR and VBR. Windows. 
o	Minerva 
?	Compressionist 250. Professional MPEG-2 real-time encoding hardware. CBR and VBR. Mac OS host computer. 
?	Publisher 300. Professional MPEG-2 video and MPEG Layer 2 audio real-time encoding hardware. CBR and VBR. Mac OS. 
o	PixelTools 
?	Expert-DVD. MPEG-2 video encoding software. CBR and VBR. Windows. 
o	Sonic Solutions 
?	Sonic DVD Studio. Professional MPEG-2 video encoding hardware. CBR and VBR. Segment-based reencoding. Mac OS. 
o	Spruce Technologies 
?	MPEGXpress 2000 (formerly from CagEnt). Professional MPEG-2 real-time encoding hardware. CBR and VBR. Windows NT. 
o	Tele-Cine 
?	Film to video (telecine) transfer services. 
Audio
o	Digital Vision 
?	BitPack. Multichannel audio encoding workstation for Dolby Digital, MPEG-2, and PCM. 
o	Minerva 
?	Audio Compressionist. Professional Dolby Digital real-time, 5.1-channel encoder. Windows NT. 
o	PixelTools 
?	Expert-Audio. MPEG Layer 2 audio encoding software. Windows. 
o	Sonic Solutions 
?	Sonic DVD Studio. Professional real-time Dolby Digital 5.1, MPEG-2, and PCM audio encoding hardware. Mac OS. 
o	Spruce Technologies 
?	ACXpress 2000 (formerly from CagEnt). Professional Dolby Digital real-time, 2-channel encoder. Windows NT. 
?	ACXpress 5100 (formerly from CagEnt). Professional Dolby Digital real-time, 5.1-channel encoder. Windows NT. 
[5.4] Quelles sont les systèmes d'authoring DVD-vidéo disponibles ?
•	DaViD from Blossom. 
•	DesktopDVD from Sonic Solutions. $40,000 DVD-Video authoring/encoding system for corporate and industrial applications, on MacOS.
•	DVDAuthorQuick from Intec America. $15,000 DVD-Video authoring software on Windows NT. 
•	DVD-Fab from Optibase. DVD-Video authoring/encoding system on Windows NT. Includes MPEG Fusion MPEG-2 encoder.
•	DVD Creator from Sonic Solutions. $100,000 complete system for DVD-Video authoring/encoding on Macintosh. Includes DVD Producer ($25,000), DVD Studio, and DVD PrePlay (for testing)
•	DVDirector from Astarte. 
•	DVDMaestro from Spruce Technologies. $50,000 authoring/encoding system on Windows NT. 
•	DVD Producer from Sonic Solutions. $25,000 DVD-Video authoring system. Real-time proofing. Mac OS. 
•	DVD-Professional SL from Minerva. $100,000 DVD-Video authoring/encoding on Windows NT. Includes Publisher 300 and Minerva Studio.
•	DVDRich from Gunzameory. $30,000 DVD-Video authoring/encoding on Windows NT (uses MPEGRich encoder and Daikin Scenarist or Intec DVDAuthorQUICK).
•	DVMotion from MTC. $1,500 (DVMotion Express) and $5,000 (DVMotion Pro) authoring system for Windows, oriented toward multimedia DVD-ROM production.
•	EasyDVD from Q-Comm. 
•	Impression from Minerva. 
•	Scenarist II from Daikin. $35,000 DVD-Video authoring on SGI.
•	Scenarist NT from Daikin. DVD-Video authoring on Windows NT.
•	Sony (more details to come) 
•	StreamWeaver and ForDVD from MTC. $900 (StreamWeaver Express) and $3,000 (StreamWeaver Pro) DVD-Video authoring, and $900 premastering on Windows.
•	ZX-2000 from Zapex Technologies. MPEG-2 video encoding, MPEG/DD audio encoding. 
•	InnovaCom, Panasonic, JVC, Toshiba, and Pioneer all have authoring systems under development but nothing available at the moment. 
InnovaCom, Panasonic, JVC, Toshiba, et Pioneer ont des sytèmes authoring en développement. 
[5.5] Qui pourrait me produire un DVD ?
•	[A] All Post (CA), 818-556-5756. 
•	[R] Americ Disc (CA, FL, Canada), 514-745-2244 
•	[A] AVM Dialog AB (Goteborg, Sweden) 
•	[A] Cinram POP DVD Center (Santa Monica, CA) 
•	[R] Cinram, Inc. (AL ; CA ; Richmond, IN), 800-433-DISC 
•	[A] CKS|Pictures (CA & NY), 408-342-5009. 
•	[A] Complete Post (CA). 
•	[A] CREATIVVIDEO & DIALOGOS (Moedling, Austria), +43(0)2236-48311 
•	[A] CRUSH Digital Video (NY), 212-989-6500. 
•	[A] Cut & Copy (Vienna, Austria), +43 1 523 98 24 
•	[A] D2 Productions (CA), 818-576-8113. 
•	[A] dHouse (CA). 
•	[A] Digital Outpost (CA), 800-464-6434. 
•	[A] Digital Video Compression Corporation (CA), 818-777-5185. 
•	[A] Digital Video Mastering (Sydney, Australia). 
•	[R] Disc Manufacturing Inc. (now part of Cinram). 
•	[A] Digital Media Group (Amsterdam, The Netherlands), +31-20-422-6317. 
•	[A] DVD Technologies (Sydney, Australia), 1-300-FOR-DVD. 
•	[A] Dynamic Media (Ellicott City, MD), 410-203-2553. 
•	[AR] DV Line (Seoul, Korea), 82-2-3462-0331 
•	[A] G-Bee Music & Video Productions (Portland, OR), 503-274-4345. 
•	[A] EDS Digital Studios (CA), 213-850-1165. 
•	[A] Electric Switch (London), 44-0-131-555-6055 
•	[A] Film- und Videotechnik B. Gurtler (Munchen, Germany) 
•	[A] Hecker & Schneider GmbH (Dortmund, Germany) 
•	[A] IBM InteractiveMedia (GA), 770-835-7193. 
•	[R] Imation (formerly 3M) (WI), 612-704-4898. 
•	[A] IPA Intermedia (IL), 773-871.-6033 
•	[R] IPC Communication Services (CA), 949-588-7765 
•	[R] JVC Disc America (CA), 310-274-2221. 
•	[A] KAO Infosystems (CA), 510-657-8425. 
•	[AR] Kao (Ontario, Canada), 800-871-MPEG. 
•	[AR] Kao Infosystems (Fremont, CA), 800-525-6575. 
•	[A] k-kontor[Hamburg] kommunikations (Hamburg, Germany), +49-40-850-9021. 
•	[AR] LaserPacific (CA), 213-462-6266. 
•	[A] Marin Digital (San Rafael, CA), 415-507-0470. 
•	[R] Maxell Multimedia (Santa Clara, CA), 800-325-7717 
•	[AR] Memory-Tech Corporation (Tokyo, Japan). 
•	[AR] Mercury Entertainment (Selangor Darul Ehsan, Malaysia). 
•	[R] Metatec (OH), 614-761-2000. 
•	[A] Microsoft Studios Digital Video Services (Redmond, WA). 
•	[R] Nimbus CD International (Charlottesville, VA ; Camarillo, CA ; Cwmbran, Wales, UK), 800-231-0778. 
•	[A] NOB Interactive (Netherlands), +31-(0)35-677-5413 
•	[A] OneLtd. (London, UK), +44-171-316-7800 (Daikin Authorized Expertise Center for Europe) 
•	[R] Optical Disc Corporation, 310-946-3050. (LaserWave DirectCut DVD recorder for creating single copies.) 
•	[R] Optical Disc Media (CA) 
•	[A] Pacific Coast Sound Works (CA), 213-655-4771. 
•	[R] Pacific Mirror Image (Melbourne, Australia) 
•	[A] Pacific Ocean Post (CA), 310-458-9192. 
•	[A] Pacific Video Resources (CA), 415-864-5679. 
•	[AR] Panasonic Disc Services Corp (CA), 310-783-4800. 
•	[A] Paris Media System (Paris, France). 
•	[A] PioneerFrance (Nanterre, France), 33 1 47 60 79 30. 
•	[R] Pioneer Video Manufacturing, Inc., 310-518-0710. 
•	[AR] PolyGram Manufacturing & Distribution Center (Langenhagen, Germany), +49 511 972 1486. 
•	[A] PRC Digital Media (Jacksonville, FL), (904)354-5353. 
•	[A] Rainmaker Interactive (CA), 604-874-8700. 
•	[A] RISE Int'l. Inc. (Fort Worth, TX) 800-990-2348 
•	[AR] RiTEK Corporation (Taiwan) 
•	[AR] Sonopress (NC & Germany). 
•	[A] Sunset Post (CA), 818-956-7912. 
•	[A] Stimulus (Calgary, Alberta) 
•	[A] Stonehenge Filmworks (Toronto and Ontario, Canada), 416-867-1189. 
•	[A] Stream (London, UK), +44 171 878 7884. 
•	[A] Sync Sound (NY), 212-246-5580 (5.1 audio). 
•	[A] Syrinx music & media GmbH (Hamburg, Germany), +49-40-63709230. 
•	[R] Technicolor, 800-732-4555. (Also see Nimbus.) 
•	[A] Tele-Cine (London, UK), +44 (0) 171 208 2200 
•	[A] Valkieser Solutions (Hilversum, Netherlands), +31-35-6714-300. 
•	[AR] Warner Advanced Media Operations, 717-383-3291. 
•	[A] Zapex 
[A] Authoring (including encoding and premastering). 
[R] Replication (mastering and/or one-offs). 

[5.6] Qui pourrait tester un DVD ?
•	CD Associates (CA), (714) 733-8580 
•	Intellikey Labs (CA), (562) 426-5338 [Long Beach Office] (818) 953-9116 
 [Burbank Office]
[6] Divers
[6.1] Qui a inventé le DVD et à qui appartient-il ? Qui contacter pour obtenir les spécifications et l'obtention de licences ?
Le DVD a été conηu par Toshiba, Matsushita, Philips et Sony etc. Il y avait à l'origine deux standards concurrents pour le DVD : le format MMCD de Sony et Philips, entre autres, et le format SD de Toshiba et Time Warner, entre autres. Un comité de sociétés de l'industrie informatique mené par IBM a insisté pour que les intervenants se mettent d'accord sur un standard unique. Le format DVD, fusion des deux standards, a été annoncé en 1995, empêchant un remake de la querelle coûteuse «  VHS contre Betamax » (ou la bataille autour de la quadriphonie dans les années 70). 
Personne ne « détient » le DVD. Le standard a été développé par un consortium de dix sociétés : Hitachi, JVC, Matsushita, Mitsubishi, Philips, Pioneer, Sony, Thomson, Time Warner, et Toshiba. Des groupes de travail, comprenant des représentants de plusieurs autres sociétés, ont contribué. En Mai 1997, Le Consortium a été remplacé par le DVD Forum, d'autres sociétés peuvent en devenir membre.
Les « book officiels » de spécifications du DVD sont disponibles chez Toshiba, après une signature d'accord de non-divulgation et un droit de 5000$. Contacter Toshiba DVD Products 1-1 Shibaru 1-Chome, Minato-ku, Tokyo 105-01, Japan, 81-3-3457-2473, fax 81-3-5444-9401. l'ECMA a développé les standards internationaux pour le DVD-ROM (la partie la plus petite des scécifications). L' ECMA a aussi mis au point les standards DVD-RAM  l'adresse ECMA-272 et ECMA-273, et +RW à l'adresse ECMA-274 (voir 4.3).
Toutes les sociétés fabricant des DVD doivent acquérir la licence appartenant aux groupements Philips/Pioneer/Sony, Hitachi/Matsushita/Mitsubishi/Time Warner/Toshiba/Victor et de Thomson. Les royalties sont de 5% pour un lecteur de DVD-Vidéo, 6$ pour un lecteur de DVD-ROM et décodeur et 10 cents pour un disque. 
La licence de la technologie de cryptage CSS est fournie par Matsushita gratuitement ; contacter CSS Interim License Organization, 2-15 Matsuba-cho, Kadoma, Osaka 571 Japan, 81-6-905-4155, fax 81-6-901-9299. La licence de la technologie d'anti-copie analogique est fournie gratuitement par Macrovision aux constructeurs de matériel, mais avec des royalties par copie. Le format et le logo DVD sont eux aussi soumis à une licence ; contactez Toshiba DVD Business Promotion and Support : 81-3-5444-9580, fax 81-3-5444-9430. La licence MPEG-2 est aussi nécessaire, chez MPEG LA (Licensing Adminstrator). Le coût est de 4$ pour un lecteur de DVD ou carte de décodage et 4 cents par disque.
[6.2] Qui fabrique ou soutient le DVD ?
Les sociétés suivantes ont annoncé officiellement du matériel spécifiquement conηu pour le DVD. 
Eléctronique grand public :
•	Akai : DVD-Video player 
•	Alpine : DVD car navigation/entertainment system 
•	Altec Lansing : DVD audio technology 
•	Clarion : DVD-ROM car navigation system 
•	Comjet : HomeMighty DVD player with Web connection
•	Denon : DVD-Video player 
•	Faroudja : DVD-Video player 
•	Fisher : DVD-Video player 
•	Harman Kardon : DVD-Video player 
•	Hitachi : DVD-Video player 
•	Hyundai : DVD-Video player 
•	Innovacom : PC/TV with DVD support 
•	JVC (Victor) : DVD-Video players 
•	Kenwood : DVD-Video player 
•	LG Electronics (GoldStar) : DVD-Video players 
•	Matsushita (Panasonic/National/Technics/Quasar) : DVD-Video players, DVD-ROM car navigation system 
•	Meridian : DVD-Video player 
•	Mitsubishi : DVD-Video players 
•	NEC : DVD-RAM video camera 
•	Onkyo : DVD-Video player 
•	Philips (Magnavox/Marantz/Norelco) : DVD-Video player 
•	Pioneer : DVD-Video players, DVD-ROM car navigation system 
•	Runco : DVD-video player and changer 
•	Samsung : DVD-Video players 
•	Sanyo : DVD-Video player 
•	Sharp : DVD-Video player 
•	Sony : DVD-Video players 
•	Thomson (RCA/GE/Proscan/Ferguson/Nordmende/Telefunken/Saba/Brandt) : DVD-Video players 
•	Toshiba : DVD-Video players 
•	Yamaha : DVD-Video player 
•	Zenith : DVD-Video player 
Studios, éditeurs de programmes et distributeurs :
•	A.D. Vision (anime) 
•	Aftermath Media (Tender Loving Care, interactive movie) 
•	All Day Entertainment 
•	Amazing Fantasy 
•	American Gramaphone 
•	Anchor Bay Entertainment 
•	Artisan (formerly LIVE Entertainment) 
•	BMG (Sonopress) 
•	Brentwood 
•	Brilliant Digital Entertainment (multipath movies) 
•	BroadcastDVD 
•	CAV Distributors 
•	Cecchi Gori 
•	Central Park Media 
•	Chesky 
•	Columbia TriStar (Sony) 
•	Concert @ Home (Platinum Entertainment) 
•	Concorde Video (12 Monkeys, German) 
•	Criterion 
•	Delos International (mostly audio) 
•	Delta Entertainment 
•	Digital Disc Entertainment 
•	Digital Leisure (formerly ReadySoft) (Dragon's Lair, Space Ace) 
•	Digital Multimedia 
•	Dimension 
•	Disney (Buena Vista Home Video, Dimension, Hollywood, Miramax, Touchstone) 
•	DreamWorks SKG 
•	DVD International (distributor) 
•	Eaton Entertainment 
•	Elite Entertainment 
•	Essex Entertainment 
•	Fox Lorber 
•	Front Row 
•	Gainax (anime) 
•	Goodtimes 
•	HBO (Warner) 
•	Image Entertainment (distributor) 
•	Impressive (adult) 
•	Kino 
•	Laserdisc Entertainment (adult) 
•	Leo Films 
•	Lumivision (distributed by SlingShot) 
•	Madacy 
•	Magic Lantern 
•	Master Tone 
•	MCA (Universal) 
•	MCA Music 
•	Media Galleries 
•	Metro Global Media (adult) 
•	Metromedia 
•	MGM/UA (Warner) 
•	Monarch 
•	Monterey 
•	MPI 
•	N2K Music 
•	Navarre (distributor) 
•	New Line (Warner) 
•	New Horizons Home Video 
•	NuTech Digital (adult) 
•	Orion Pictures (distributed by Image) 
•	Panasonic Interactive Media 
•	Paramount Home Video (owned by Viacom) 
•	Parasol 
•	Passport 
•	Phantom 
•	Pioneer Entertainment (distributor) 
•	Playboy 
•	Polygram (Philips partner) 
•	Pony Canyon (Japan) 
•	Pro7 Home Entertainment (Germany) 
•	Program Power 
•	Republic Pictures (majority owned by Paramount) 
•	Rhino Home Video 
•	Roadshow Entertainment (Australia) 
•	Samsung Entertainment Group 
•	Shanachie 
•	Simitar 
•	Sierra Vista Entertainment (Innovacom) 
•	Silver Screen 
•	SlingShot (acquired Lumivision titles) 
•	Sony Music Entertainment 
•	Sony Wonder (kids) 
•	Sterling Home Entertainment 
•	SyCoNet.com (distrubutor, anime) 
•	Synapse Motion Pictures 
•	Tai Seng 
•	Toho (Japan) 
•	Toshiba EMI 
•	Trimark 
•	Troma 
•	Turner 
•	Twentieth Century Fox 
•	United American 
•	Universal Studios Home Video (Matsushita) 
•	VCA Interactive (VCA Pictures, VCA Labs ; adult) 
•	Victor Entertainment (JVC) 
•	Victory 
•	Vidmark 
•	Vivid Entertainment (adult) 
•	Warner Bros. Records/Warner Music (Toshiba partner) 
•	Warner Home Video (Toshiba partner) 
•	World Video 

Industrie de l'informatique :
•	Alliance Semiconductor : DVD-accelerated video controller chips 
•	Analog Devices : 192-kHz/24-bit audio DAC 
•	Apple : DVD-ROM drives, DVD-ROM-equipped computers, software drivers, playback hardware and software (QuickTime) 
•	AST : DVD-ROM-equipped computers (with MMX-based playback software) 
•	ATI Technologies : DVD-accelerated video audio/video cards 
•	Axis Communications : DVD-ROM servers 
•	C-Cube : DVD encoder and decoder chips 
•	CEI : DVD playback hardware and software 
•	Chromatic Research : DVD decoder and playback chips 
•	Cirrus Logic : DVD-accelerated video controller chips 
•	Compaq : DVD-ROM-equipped computers 
•	Creative Technology : DVD-accelerated audio/video cards, DVD upgrade kit 
•	Cygnet : DVD-RAM jukebox 
•	Diamond Multimedia : DVD playback hardware (Toshiba drive) (upgrade kit) 
•	Digital : DVD software playback (for Alpha workstations), DVD encoder chips 
•	Digital Video Systems : DVD-ROM drives 
•	DynaTek : DVD upgrade kit 
•	E4 (Elecede) : DVD playback hardware 
•	Elektroson : DVD-recordable software (top.GEAR) 
•	ESS Technology : playback chipset, player reference design 
•	Fujitsu : DVD-ROM-equipped computers 
•	Gateway : DVD-ROM-equipped computers 
•	Harman Int. : DVD jukebox 
•	Hitachi : DVD-ROM drives, decoder chips 
•	Hi-Val : DVD playback hardware (upgrade kit) 
•	Hyundai : DVD decoder chips 
•	IBM : DVD-ROM-equipped computers, decoder chips 
•	Innovacom : DVD encoder and decoder systems 
•	Intel : DVD playback hardware (MMX) and software 
•	JVC : DVD-ROM drives 
•	Kasan : decoder hardware 
•	LG Electronics : DVD-ROM drives 
•	LSI : DVD decoder chips and playback cards 
•	LuxSonor : DVD playback chips 
•	Margi : DVD decoder card for notebook PCs 
•	Matrox : DVD-accelerated video cards 
•	Matsushita (Panasonic) : DVD-ROM drives, upgrade kits, DVD/Web integration, DVD-RAM still-image recorder 
•	Mediamatics : DVD playback software and hardware 
•	Medianix : Dolby Digital decoder hardware with Spatializer 3D audio 
•	Microsoft : DVD drivers and playback software (ActiveMovie) 
•	Mitsubishi : DVD-ROM drives 
•	Motorola : DVD decoder chips 
•	Number 9 : DVD-accelerated audio/video cards 
•	NEC : DVD-ROM drives 
•	NSM : DVD-ROM jukebox, DVD-RAM jukebox 
•	Oak Technology : DVD playback hardware and software 
•	Packard Bell : DVD-ROM-equipped computers 
•	Philips : DVD-ROM drives, decoder chips 
•	Pioneer : DVD-ROM drives 
•	Plasmon Data : DVD-RAM jukebox 
•	Procom : DVD-ROM jukebox 
•	Quadrant International : DVD-Video decoding hardware and software 
•	S3 : DVD-accelerated video controller chips 
•	Samsung : DVD-ROM drives and DVD-ROM-equipped computers 
•	STMicroelectronics (formerly SGS-Thomson) : DVD decoder chips 
•	SICAN : DVD decoder chips 
•	Sigma Designs : DVD playback hardware 
•	Software Architects : DVD-recordable software (w/Elektroson) 
•	Sony : DVD-ROM drives and DVD-ROM-equipped computers 
•	STB Systems : DVD playback hardware (upgrade kit) 
•	TDK : blank DVD-RAM discs 
•	Toshiba : DVD-ROM drives and DVD-ROM-equipped computers 
•	Trident Microsystems : DVD decoder chips, DVD-accelerated video controller chips 
•	Truevision : DVD playback software (Microsoft Active Movie 2.0) 
•	Verbatim Australia (ActiveMedia) : DVD playback hardware (upgrade kit) 
•	Wired : DVD playback hardware and software 
•	Xing : DVD playback software 
•	Yamaha : AC-3 decoder chips 
•	Zoran/CompCore : DVD software and hardware playback, DVD decoder chips 
Titres logiciels sur DVD-ROM :
•	2 Way Media : Launch 
•	Access Software : Overseer, Tex Murphy 
•	Accolade : Jack Nicklaus 4 
•	Activision (Quicksilver) : Muppet Treasure Island, Spycraft : The Great Game, Zork : The Grand Inquisitor 
•	Aftermath Media : Tender Loving Care 
•	ALLDATA : automotive information databases 
•	Broderbund : Riven 
•	Byron Preiss/Simon & Schuster : The Timetables of Technology 
•	Creative Multimedia : Billboard Music Guide, Blockbuster Entertainment Guide to Movies and Video 
•	Creative Wonders (The Learning Company) : Schoolhouse Rock, Sesame Street, Wide World of Animals 
•	DeLorme : AAA Map'n'Go DVD Deluxe 
•	Digital Directory Assistance : PhoneDisc PowerFinder USA One 
•	Digital Leisure : Dragon's Lair 
•	Discovery Channel : Leopard Son/Animal Planet, Connections 
•	Dorling Kindersley 
•	Electronic Arts : Wing Commander IV 
•	genX Software/dHouse : Dead Moon Junction 
•	Graphix Zone 
•	Grolier : Multimedia Encyclopedia 
•	GT Entertainment : Forrest Gump 
•	IBM Interactive Media : The Pistol : The Birth of a Legend 
•	Interactual Technologies : Star Trek VideoSaver 
•	Interplay 
•	IVS : The Union Catalogue of Belgian Research Libraries 
•	Japan Travel Bureau : DVD-Web product 
•	The Learning Company (SoftKey) : Battles of the World, Digital Library, The Genius of Edison 
•	Liris (Havas) Interactive : Découvertes (Junior Discovery) 
•	Magnum Design 
•	Mechadeus : The Daedalus Encounter 
•	MediaGalleries : Multimedia Bach 
•	MediaOne : VersaDisc 
•	Microsoft : Encarta 98 
•	Mill Reef : Earthlight 
•	Mindscape 
•	Monolith : Claw 
•	Montparnasse Multimedia : Microcomsos 
•	Multimedia 2000 (aka M2K, formerly Multicom) : Birds of the World ; Bubblegum Crisis ; HomeDepot's Home Improvement 1-2-3 ; Warren Miller's Ski World '97 ; Exploring National Parks ; Great Chefs, Great Cities ; Better Homes and Gardens Cool Crafts 
•	Natif 
•	NB Digital/Mill Reef : Earthlight 
•	Pro CD : Select Phone 
•	Psygnosis 
•	Sega : 4 game/instruction titles to be released in early 1997 
•	Sierra Online 
•	Sumeria : Vanishing Wonders of the Sea, Wild Africa 
•	SuperZero : adult DVD-Video 
•	TerraGlyph Interactive Studios : Buster and the Beanstalk (Tiny Toons) 
•	Tsunami : Crazy 8's, Silent Steel, Silent Steel II 
•	Warner Advanced Media 
•	Westwood Studios : Command & Conquer 
•	Xiphias : Encyclopedia Electronica 
•	Zombie VR Studios : Liberty 
[6.3] Où trouver davantage d'informations concernant le DVD ?
Voici quelques unes des meilleures pages sur le DVD. Pour davantage de liens, voir la page de Robert, qui contient tous les liens dont vous pouvez avoir besoin. 
  

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 FAQ-DVD
 
 
[7] Suppléments
[7.1] Questions encore sans réponses
(Si vous avez les réponses à ces questions, n'hésitez pas !) 
•	D'autres indications sur les changements de face des DVD-Vidéo (Zone 1) ? (1.27) 
•	D'autres disques sur deux faces (i.e. qui nécessitent d'être retournés) ? (1.21) 
•	Quel est le format exact de la sortie vidéo component Y/R-Y/B-Y sur les lecteurs de DVD ? YPrPb avec Rec. 601 scale factors ? Quel est l'interface standard ? SMPTE 253M ou Betacam ou M-II ? 
•	Y a-t-il une désignation officielle pour les disques de 8 cm (DVD-1, DVD-2, etc. ?) 
[7.2] Notations et unités
Il y a une malencontreuse confusion dans les unités de mesure du DVD. Par exemple, un DVD double couche contient 4,7 milliards d'octets ("G bytes"), et non 4.7 gigaoctets ("GB"). Il ne contient que 4,38 gigaoctets. De même, un DVD double face et double couche contient 15,90 giaoctets, ce qui correspond à 17 milliards d'octets. 
La confusion vient du fait que « kilo, » « mega, » et « giga » représentent généralement des multiples de 1000 (10^3, 10^6, and 10^9), mais pour mesurer des octets dans le domaine informatique, ils représentent des multiples de 1024 (2^10, 2^20, et 2^30). 
La plupart des chiffres concernant le DVD sont des multiples de 1000 comme, malgré l'usage de notations comme Go ou Ko/s qui se basent traditionnellement sur 1024. Pour utiliser la notation la moins ambiguë possible est d'utiliser kbps pour millier d'octet par seconde, Mbps pour millions d'octets par seconde, Ko pour 1024 octets, Mo pour 1048576 octets et Go pour 1073741824 octets. 
 DIVX 
La vidéo Divx est du MPEG-4, norme de compression définie par le MOTION PICTURE EXPERT GROUP. La norme MPEG-4 est destinée aux applications multimédias pour de la diffusion sur réseau type Internet haut débit, réseau local,.... Il ne s'agit ni d'un produit commercial en tant que tel, ni d'une pure création. Cet algorithme de compression/décompression à été fabriqué à partir d'une version piratée du CODEC (algorithme de Codage/Décodage) Microsoft . Son succès viens de sa capacité à permettre la diffusion de films issus de DVD Vidéo piratés sur Internet. 
Le Divx ;-) est un algorithme de compression vidéo MPEG-4 qui permet d'obtenir une qualité quasi DVD avec 10 fois moins de places : un DVD de 4,3 GO peut ainsi tenir sur un simple CD-ROM. 
 
 DVD 
Alors que plusieurs personnes prétendent qu'il signifie Digital Vidéo Disk, il s'agit en réalité de Digital Versatile Disk. C'est un format d'encodage de disques numériques qui permet d'emmagasiner de l'information pour différentes applications : vidéo, multimédia, audio et bien d'autres encore comme les prochaines versions des consoles de jeux vidéo du genre Nintendo et compagnie.Un disque DVD se présente sous la forme d'un disque de 12 cm en tout point identique visuellement à un disque CD Audio/CD-Rom classique a première vue. 
Le DVD simple-couche simple-face (DVD-5) peut contenir jusqu'à 135 minutes ou 4,7Go ; le DVD double-couches simple-face (DVD-9) a une capacité de 8,5Go ; le DVD simple-couche double-faces (DVD10) peut stocker 9,5Go ; le DVD double-couches double-faces (DVD18) peut stocker 17Go ou 8 heures de film. 
Un disque DVD-Video est un des disques de la grande famille DVD qui comprend également une déclinaison Audio (DVD-AUDIO), informatique (DVD-ROM), Enregistrables (DVD-RAM, DVD-R, DVD-RW, +RW). 
Le DVD-Video est un disque qui permet de stocker de la vidéo numérique de haute qualité accompagnée par jusqu'à 8 pistes audio compressées à différente normes (Dolby Digital AC3, DTS, ...). Le son est multicanal, c'est à dire qu'il est possible de coder et restituer un son sur plusieurs haut parleurs (mais ce n'est pas une obligation). Jusque 32 sous-titres peuvent être présents sur un disque. 
La vidéo d'un DVD-Video est au format MPEG-2 ou MPEG-1. 
 
 VCD 
Le VCD (alias VideoCD) à été l'un des premiers supports numériques grand public à voir le jour. Objet de convoitise pour les premiers véritables amateurs de Home-Cinéma il se presentait sous la forme de gros disques lasers (LD) double face, simple couche. Si il ne mobilise plus les foules aujourd' hui en Europe il est encore très présent sur le marché asiatique (Hong-Kong étant l'un des plus gros centres de vente). 
Un VCD peut contenir environ 70 minutes de vidéo. Par sa faible résolution et son mode de compression (le MPEG-1) il montre vite ses limites. L'image manque de netteté, présente des artfacts (blocs de pixels) dans les scènes rapides et le son ne peut être encodés au mieux qualité en MP2 Dolby Surround. Cependant, il présente l'immense avantage de pouvoir être lu dans presque tous les matériels équipés d'un lecteur CD récent. En effet, il peut être aussi bien lu sur un ordinateur, une console de jeux (Playstation 1&2, Saturn & Dreamcast), un lecteur DVD (suivant les modèles) ou encore sur les baladeurs CD/MP3 (en le connectant à la télévision). Il est à noter que l'on peut également ajouter de l'interactivité avec, notamment, des menus (au même titre que ceux des DVD) et des sous-titres (le "multi-langues" n'étant pas possible faute de place) . 
 
 S-VCD 
Le SVCD (alias SVCD, Super VCD ou Chaoji VCD) est une amélioration du VCD voulue par le gouvernement chinois et financéé par les grands groupes technologiques du pays. Annoncé en 1998, ce format se veut le concurrent du DVD. Pourquoi ? Et bien afin de contourner les royalties que le DVD engendre et par conséquent faire baisser son prix de vente. D'après des sources officielles, le gouvernement chinois n'apprécie que très moyennement le fait que le DVD soit controlé par un consortium "étranger" et n'est pas enthousiasmé à l'idée de leur verser des royalties ("The Chinese government did not quite like the idea that the domestic home electronics industry would have to pay royalties to foreign companies in order to manufacture next generation video disc products for Chinese people") 
Le SVCD reprend donc les avantages de son petit frère tout en augmentant la résolution vidéo. Codé en MPEG-2 (tout comme les DVD) il peut se payer le luxe d'approcher une qualité presque parfaite à l'oeil nu ! Son support du Multichannel 5.1 (à ne pas confondre avec le Dolby Digital 5.1) constitue une alternative interessante aux DVD. Son coà »t de production et de création nettement moins élevé ravira les amateurs de videos desireux de conserver leurs films de famille ou de distribuer leur tout dernier court métrage ! On regrettera tout de même la complexité du processus de création (notamment lorsque l'on désire ajouter de l'interactivité) et la lenteur du codage pour les ordinateurs lents (entendez par là les processeurs inférieurs à 750Mhz) 
 
 X-VCD 
Le XVCD (entendez par là eXtra-VideoCD) est une version "à part" de la famille des VideoCD. Pour simplifier les choses, nous pourrions dire que c'est un SVCD codé en MPEG-1. 
L'un des principaux intérets du XVCD est sa résolutions élévée (jusqu'à 480x576 en PAL) et son bitrate qui peut atteindre 2600Kbits (video + son). Si le codage en MPEG-1 montre toujours ses limites en terme de qualité, il n'en demeure pas moins qu'il peut constituer une alternative interessante aux possesseurs de lecteurs DVD récalcitrants. En effet, si il s'avère que seulement une minorité de lecteurs DVD supportent le SVCD (tendance qui est en train de s'inverser avec le developpement des lecteurs "grand public") la grande majorité est plus ou moins compatible avec les XVCD. 


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